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17 Brie-sous-Matha
Articles
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Les familles de Gadeville et d’Ecoyeux : des marins et des soldats au service du Roi
27 décembre 2006, par Pierre
La familles Frétard de Gadeville et d’Ecoyeux constituent un exemple assez typique de la petite noblesse de province sous l’Ancien Régime :
peu fortunées (le fief de Gadeville, situé dans les marais du Pays Bas de Cognac, est d’un rendement agricole très médiocre)
trouvant leur véritable statut dans la gloire que peut apporter une bonne carrière militaire au service du Roi, mais la concurrence est rude et la vie peut être courte,
faisant occasionnellement un beau mariage qui apporte un héritage significatif.
Ces deux familles ont connu ces diverses situations. Ici, la carrière des armes.
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Seigneurie de Chatenet à Brie-sous-Matha - Description du logis et des terres
15 juillet 2006, par Pierre
Chatenet, une toute petite seigneurie saintongeaise, dans la paroisse de Brie-sous-Matha (Charente-Maritime).
Faites connaissance de son logis noble et de ses terres.
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1418-1453 : la grande pitié des diocèses d’Angoulême et de Saintes pendant la guerre de Cent Ans (I)
18 avril 2012, par Christian
Avant de s’intéresser à Luther, le dominicain autrichien Heinrich Denifle (1844-1905), archiviste au Vatican, étudia la formation des universités. Au cours de ces recherches, il découvrit une série de suppliques adressées au pape par les établissements religieux de France, dévastés par la guerre de Cent Ans. Il publia en 1897 plus d’un millier de ces pièces, sous le titre La Désolation des églises, monastères et hôpitaux en France pendant la guerre de Cent Ans. Sept de ces (...)
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1583 - Brie-sous-Matha (17)- Procès en retrait lignager
24 septembre 2006, par Pierre
Le retrait lignager, droit coutumier très ancien, protecteur du patrimoine familial, en procès dans un petit village de Saintonge
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1598 - Brie-sous-Matha (17) : Sorcellerie - Des mots interdits, même pour plaisanter
6 novembre 2006, par Pierre
Sorcellerie, sorcier, jurons contenant le nom de Dieu : à la fin du 16ème siècle, en Saintonge (certainement comme un peu partout à cette époque), il y a des mots à éviter, si on ne veut pas avoir affaire à la justice.
Un témoignage, pris sur le vif, dans un petit village.
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1600 - 1762 - Les revenus du Collège des Jésuites de Saintes
20 août 2012, par Pierre
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1686 - Etat des paroisses de l’élection de Saint-Jean d’Angély + carte
12 novembre 2008, par Pierre
Population, fiscalité, productions, accidents climatiques, seigneuries : cet état des paroisses est comme une photographie de l’Élection à la fin du XVIIème siècle. Il y a plus de détails que dans le rapport de l’intendant Bégon (1699). Les notes annexes sont un complément intéressant. Carte satellite avec l’emplacement des paroisses.
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1710 - Brie-sous-Matha (17) - Contrat de travail d’une bergère
19 mars 2010, par Pierre
Contrat de travail en bonne et due forme passé devant notaire entre Galéas Frétard de Gadeville, le seigneur local, et Marie Merlet, pour la garde de 65 moutons. Le contrat semble assez équitable, avec des obligations pour les deux parties.
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1718 - Impôts royaux - La taille et sa collecte
30 mars 2007, par Pierre
Rien ne va plus à Brie-sous-Matha (17) en ce printemps 1718 ! Le curé ne célèbre plus les offices, et l’un des 4 habitants chargé de collecter la taille dans le village est en arrêt de maladie pour cause de jambe cassée.
Reportage pris sur le vif au cours de l’assemblée paroissiale (le conseil municipal de ce temps) qui essaye de faire face à cette situation de crise, car la taille ne peut attendre !
Au final, on se dit que pour Pierre Bastard Maillole, une jambe cassée, dans ces circonstances, c’était plutôt un coup de chance ...
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1718 - Le Seigneur de Gadeville va-t-il se marier sans le consentement de sa mère ?
26 avril 2007, par Pierre
L’acte de respect ou comment se marier sans le consentement de ses parents.
Le futur marié a la trentaine, mais la permission de maman est nécessaire. Alors si elle s’oppose au mariage, l’acte de respect consiste à lui demander la permission poliment devant notaire, par trois fois. Ensuite, fais ce qu’il te plait.
On découvrira plus tard pourquoi la maman ne voulait pas de ce mariage ...