Mars 1789 - C’est la phase de préparation des États généraux. Le cahier du clergé de la sénéchaussée
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Clergé
Articles
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1789 - Saint-Jean d’Angély (17) : cahier de doléances du clergé de la Sénéchaussée
5 août 2006, par Pierre -
1789 - Saintes (17) : cahier de doléances du clergé de la Sénéchaussée
5 août 2006, par PierreMars 1789 - Le clergé de la Sénéchaussée de Saintes rédige son cahier de doléances. Un document très riche d’informations sur la société de l’époque. Le clergé défend ses privilèges et préséances, sa vision de la morale, mais la porte est assez largement ouverte pour permettre à l’histoire d’avancer.
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1792 - L’émigration du clergé de Charente-Inférieure en Espagne
18 février 2009, par PierreLe clergé des diocèses de Saintes et La Rochelle dont les prêtres réfractaires au serment sur la Constitution sont persécutés, se tourne vers l’Espagne, plus proche géographiquement, et où l’évêque de la Rochelle a des liens de parenté avec la famille royale.
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1792 - Saint-Ouen-d’Aunis (17) : Vente aux enchères publiques des biens du Prieuré
17 mai 2009, par PierreLes décrets de l’Assemblée Nationale sur la vente des bien du Clergé entrent en application. A Saint-Ouen-d’Aunis, comme dans toute la France, les enchères à la bougie font changer de mains les biens jusque là détenus par le Clergé. Le but est de renflouer les caisses de l’Etat. Le résultat, à cause d’une inflation galopante, sera malheureusement bien éloigné des prévisions.
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1792-1793 - Les émigrés de Saintonge, Aunis, Angoumois et Poitou (A-B-C-D)
28 novembre 2017, par PierreNobles, prêtres et roturiers, considérés comme traîtres à la patrie, ils furent environ 150.000 à quitter la France pendant la révolution. Ne pouvant être pourchassés à l’étranger où ils avaient trouvé refuge, ces émigrés virent leurs biens saisis et parfois vendus "nationalement" et leurs noms furent consignés dans des listes infamantes. Après la Terreur, la législation autorise leur retour en France à condition d’obtenir leur radiation de ces listes.
Nous présentons ici, par (...) -
1792-1793 - Les émigrés de Saintonge, Aunis, Angoumois et Poitou (E-F-G-H-I-J)
28 décembre 2017, par PierreNobles, prêtres et roturiers, considérés comme traîtres à la patrie, ils furent environ 150.000 à quitter la France pendant la révolution. Ne pouvant être pourchassés à l’étranger où ils avaient trouvé refuge, ces émigrés virent leurs biens saisis et parfois vendus "nationalement" et leurs noms furent consignés dans des listes infamantes. Après la Terreur, la législation autorise leur retour en France à condition d’obtenir leur radiation de ces listes.
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1792-1793 - Les émigrés de Saintonge, Aunis, Angoumois et Poitou (L-M-N-O)
16 février 2018, par PierreNobles, prêtres et roturiers, considérés comme traîtres à la patrie, ils furent environ 150.000 à quitter la France pendant la révolution. Ne pouvant être pourchassés à l’étranger où ils avaient trouvé refuge, ces émigrés virent leurs biens saisis et parfois vendus "nationalement" et leurs noms furent consignés dans des listes infamantes. Après la Terreur, la législation autorise leur retour en France à condition d’obtenir leur radiation de ces listes.
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1792-1793 - Les émigrés de Saintonge, Aunis, Angoumois et Poitou (P-Q-R)
15 août 2018, par PierreNobles, prêtres et roturiers, considérés comme traîtres à la patrie, ils furent environ 150.000 à quitter la France pendant la révolution. Ne pouvant être pourchassés à l’étranger où ils avaient trouvé refuge, ces émigrés virent leurs biens saisis et parfois vendus "nationalement" et leurs noms furent consignés dans des listes infamantes. Après la Terreur, la législation autorise leur retour en France à condition d’obtenir leur radiation de ces listes.
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1792-1793 - Les émigrés de Saintonge, Aunis, Angoumois et Poitou (S à Z)
16 août 2018, par PierreNobles, prêtres et roturiers, considérés comme traîtres à la patrie, ils furent environ 150.000 à quitter la France pendant la révolution. Ne pouvant être pourchassés à l’étranger où ils avaient trouvé refuge, ces émigrés virent leurs biens saisis et parfois vendus "nationalement" et leurs noms furent consignés dans des listes infamantes. Après la Terreur, la législation autorise leur retour en France à condition d’obtenir leur radiation de ces listes.
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1793 - 1797 - Le clergé de Charente et Charente-Inférieure dans les pontons de la Terreur
31 mai 2008, par PierreLa Guyane, Rochefort, l’île d’Aix, l’île Madame, les pontons, le Washington, les Deux Associés : des lieux qui rappellent les milliers de morts d’une période noire de la Révolution Française.
Inventaire des victimes dans le clergé de Charente et de Charente-Inférieure.
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