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1494 - 1808 - Archives de l’Hôpital Saint-Louis de Saint-Jean d’Angély

mercredi 12 mai 2010, par Pierre, 6150 visites.

Les archives hospitalières (série H) font l’objet d’un classement spécifique dans cette série. Cela permet de trouver groupés des documents sur cette institution. L’histoire de l’hôpital à travers les siècles est très révélatrice de l’évolution de la société et des rapports complexes entre l’État, l’Église et l’homme, dans sa misère et sa souffrance.

Nous avons sélectionné ici les cotes spécifiques à l’hôpital de Saint-Jean d’Angély et à ses annexes, les maladreries.

Source : Inventaire des Archives Hospitalières de la Charente-Inférieure - Supplément à la série H.

Page en cours de rédaction (manquent une partie des cotes relatives aux maladreries annexes).

 Hôpital Saint-Louis de Saint-Jean d’Angély.

Inventaire rédigé par M. C.-L. SAUDAU, Ancien greffier de justice de Paix, archiviste de la ville de Saint-Jean-d’Angély.

H. 200. (Liasse.) — 2 pièces, parchemin ; 2 sceaux.

1695-1696. — Arrêt du Conseil privé et lettres patentes du roi Louis XIV autorisant l’établissement, à Saint-Jean-d’Angély, d’un hôpital, auquel sont attribués les biens des aumôneries de Lussaut, Saint-Lazare, Saint-Hilaire de Loulay, Matha, la Tour-Blanche, Frontenay-Labatu, sous l’obligation d’y recevoir les malades desdites paroisses en proportion du revenu apporté par lesdites aumôneries. — Arrêt du Parlement de Bordeaux prescrivant l’enregistrement desdites lettres.


H. 201. (Liasse.) — 1 pièce, papier ; in-4°.

1599. — Contrat d’échange entre frère Léonard Guillonet, religieux bénédictin, prieur de Saint-Jacques et Méry Charrier, marchand et pair du Corps de ville, d’une pièce de terre dite Le Champs des Poulies, contre une autre pièce
confrontant aux moulins et quéreux de Comportet.


H. 202. (Liasse.) — 1 pièce, papier, in-4’.

1604. — Jugement par défaut du sénéchal de Saintonge, rendu à la requête du procureur du Roi, contre Jean Morin et Denis Boursoreille, qui refusent de prêter serment en qualité d’administrateurs des pauvres et sont condamnés
à cent livres d’amende.


H. 203. (Liasse.) — 18 pièces, papier.

1619-1715. — Partage entre les héritiers de Pierre Mesnard et de Jeanne Prévost, des biens de ces derniers, et autres pièces relatives aux terres du Petit-Marais, sur lesquelles une rente noble de 3 livres H sols 6 deniers était due à l’hôpital.


H. 204. (Liasse). pièces, papier.

1680-1716. — Transaction entre les administrateurs de l’hôpital Saint-Louis de Saint-Jean-d’Angély et messire Pierre-Henri de La Laurencie, chevalier, seigneur de Villeneuve-la-Comtesse, au sujet d’une amende de 400 livres, adjugée au profit des pauvres dudit hôpital, par jugement prévôtal rendu contre le chevalier de La Laurencie de Villeneuve, condamné à mort pour avoir frappé mortellement maître Jean Claveau, substitut de MM. les gens du Roi du siège de Saint-Jean-d’Angély.


H. 205. (Liasse.) — 4 pièces, papier.

1682-1709. — Déclaration faite par Pierre, Jean, Jacques et Zacharie Allenet, des biens par eux tenus à cens de l’hôpital de Saint-Jean-d’Angély.


H. 206. (Registre.) — In-4°, couvert en parchemin ; 41 feuillets, papier,

1693. — Papier terrier de l’hôpital des malades de la ville de Saint-Jean-d’Angély, contenant les cens, rentes nobles et secondes, légats, domaines et autres droits et revenus appartenant à cet élablissement charitable.


H. 207. (Liasse.) — 4 pièces, papier.

(Sans date. — Vers 1695). — Observations sur différents articles du censif de l’hôpital royal Saint-Louis de Saint-Jean-d’Angély.


H. 208. (Liasse.) — i pièces, papier.

1695. — Mémoire de ce que M. de Bonnegens, prévôt de la maréchaussée, tient dans le fief de l’Aiguille appartenant à l’hôpital.


H. 209. (Liasse.) — 1 pièce, papier.

1696. — Mémoire sur la situation des hôpitaux de Saint-Jean-d’Angély.


H. 210. (Liasse.) — I pièce, papier.

1697. — Supplique adressée à M. l’évêque de Saintes et à l’intendant de La Rochelle, pour obtenir la réunion à l’Hôpital de Saint-Jean-d’Angély de diverses aumôneries et maladeries. — Avis favorable.


H. 211. (Liasse.) — 2 pièces, papier.

1699. — Sentence rendue par le subdélégué de l’Intendant de La Rochelle contre Jean Laroche et Paul Allenet, qui sont condamnés à payer une somme de 128 livres au receveur de l’hôpital.


H. 212. (Liasse.) 1 pièce, papier.

1698. — Jugement de la sénéchaussée de Saintonge au siège de Saint-Jean-d’Angély, qui condamne Etienne Martian, fermier de Saint-Hérie, à demander pardon à Dieu et à la justice, et à servir le Roi sur ses galères, pendant trois ans, en qualité de forçat, pour avoir frauduleusement suborné un nommé Labossay à lui donner une fausse quittance au nom de François Piniau, condamnant aussi Labossay à SO livres de réparation envers le notaire qui avait libellé la quittance, et pareille somme à l’hôpital des malades.


H. 213. (Liasse.) — 24 pièces, papier.

1698-1699. — Mémoire, requête, notes et correspondance pour l’hôpital des pauvres malades de Saint-Jean-d’Angély, contre les Bénédictins de la même ville, au sujet des aumôneries de la ville.


H. 214. (Liasse.) — 1 pièce, parchemin.

1699. — Arrentement par Jean Hillairet, marchand, d’un journal de terre au fief de l’Aiguille, moyennant 30 sols de renie directe et foncière à l’hôpital de Saint-Jean-d’Angély.


H. 215. (Cahier.) — 7 feuillets, papier.

1699. — État des revenus de l’hôpital des pauvres malades de la ville de Saint-Jean-d’Angély (janvier 1699). (Copie.)


H. 216. (Cahier.) — 3 feuillets, papier.

1700. — Testament de Jean Jean, donnant aux pauvres de l’hôpital Saint-Louis tous ses meubles el la tierce partie de ses biens. (Copie.)


H. 217. (Liasse) — 2 pièces, papier.

1708. — Supplique des administrateurs de l’hôpital de Saint-Jean-d’Angély, aux président et lieutenant général de la Sénéchaussée, pour obtenir l’autorisation de faire arpenter le fief de l’Aiguille, dont les droits seigneuriaux étaient de 2 sols 6 deniers par boisselée, afin de contrôler l’exactitude des déclarations faites par les tenanciers de l’hôpital.


H. 218. (Liasse.) — 7 piêces, papier.

1717. — Donation par Charles Delastre, écuyer, seigneur du Bouchereau, La Touche Marteau, fiefs-bruns, à l’hôpital Saint-Louis, de 50 livres de rente seconde annuelle et perpétuelle assise sur le fief et seigneurie de fief-brun destinée à la nourriture et au soulagement d’un malade pauvre, habitant de préférence La Touche-Marteau, à charge aussi, de faire dire annuellement, dans la chapelle de l’hospice, le jour de la Saint-Charles Borromée, une messe basse à l’intention du donateur.


H. 219. (Liasse.) — 2 pièces, papier.

1719. — Titre nouvel d’une rente de 10 sols appuyée sur un morceau de vignes, situé dans les fiefs-bruns, seigneurie de La Touche-Marteau, due par François Robin aux Jacobins.


H. 220. (Liasse.) — 1 pièce, parchemin ; 4 pièces, papier.

1724. — Pièces de procédures relatives à une rente de 100 sols sur la seigneurie de La Madeleine, due à l’Hôpital Saint-Louis par les héritiers Cadouin, et plus tard par Elisée Loustallot.


H. 221. (Cahier.) — 12 feuillets, papier.

1725. — Mémoire pour les administrateurs de l’hôpital Saint-Louis, contre les religieux bénédictins, au sujet de l’administration des aumôneries et Hôtel-Dieu desdits religieux.


H. 222. (Liasse.) — 14 pièces, papier.

1725. — Supplique des administrateurs de l’hôpital Saint-Louis, adressée à l’intendant de la Généralité de La Rochelle, pour obtenir le payement de 1,100 livres, dues à l’hôpital par les Bénédictins. — Commandement par huissier aux religieux pour la même créance.


H. 223. (Cahier.) — i feuillets, papier.

1725. — Procès-verbal de la prise de possession du grand hôpital par les administrateurs de l’hôpital Saint-Louis.


H. 224. (Liasse.) — 3 pièces, papier.

1725. — Arrêt du Conseil du Roi défendant aux Bénédictins de faire, à l’avenir, la distribution de leurs aumônes publiques et ordonnant que la somme de 100 livres, à laquelle elles montaient, serait payée par les religieux au receveur de l’hôpital Saint-Louis. — Signification dudit arrêt. — Nomination par les administrateurs de l’hôpital Saint-Louis du sieur Louis Picard, sergent subalterne, en qualité de gardien du Grand Hôpital.


H. 225. (Cahier.) — 4 feuillets, papier.

1725. — Procès-verbal de prise de possession et état des lieux du Grand Hôpital dressé par les administrateurs de l’hôpital Saint-Louis, en exécution de la déclaration royale du 18 juillet 1724, concernant les mendiants.


H. 226. (Liasse.) — 1 pièce, papier.

1726. — Sommation à la requête des administrateurs de l’hôpital général Saint-Louis, choisi pour renfermer les mendiants, aux administrateurs de l’Hôtel-Dieu d’avoir à leur payer 275 livres pour un quartier, conformément à l’arrêt du Conseil d’État du 2 mars 1726.


H. 227. (Liasse. 1 pièce, papier.

1745. — Cession d’une rente foncière de 40 livres assise sur les bâtiments de l’hôpital, faite par Jean Guibert, écuyer, chevalier, seigneur des Varennes, à Joseph de Bonnegens, seigneur des baronnies et chàtellenies du Cluzeau, Bignay et la Madelaine.


H. 228. (Carton.) — 1 pièce, parchemin.

1746. — Cession à titre d’arrentement, et pour 30 livres de rente, d’une pièce de pré appelée des Pauvres, située dans la prairie de Montalier, paroisse de Saiut-Savinien-du-Port, faite par Michel Perreau, syndic de l’hôpital Saint-Louis de Saint-Jean-d’Angély, à Nicolas Vignier.


H. 229. (Cahier.) — 10 feuillets, papier.

1754. — Arrentement des biens et domaines de l’aumônerie de La Revêtison Chabot, par les administrateurs de l’hôpital Saint-Louis, à dame Marie-Madeleine Pellerin, veuve de François Crosnier, seigneur des Ajots, moyennant 36 livres de renie seconde et foncière non amorlissahle. — Procès-verbal d’état des lieux dressé à la requête de la dame Pellerin.


H. 230. (Carton.) — 1 pièce, papier.

1766. — Reconnaissance par le sieur Ranson d’une rente de 35 sols, par lui due à l’hôpilal Saint-Louis sur une maison qu’il avait acquise de Hyacinthe Guillemin de Villarzay .


H. 231. (Carton.) — 2 pièces, parchemia ; 2 pièces, papier.

1770-1783. — Testament de dame Barbe de La Croix du Repaire, hospitalière de l’hôpital Saint-Louis, léguant aux dames hospitalières dudit établissement une
rente volante et hypothécaire de 100 livres, au capital de 2,000 livres à elle due par Pierre Honoré Grillon sieur de Plenneville, suivant contrat du 16 mai 1774.


H. 232. (Carton.) — 1 pièce, papier.

1773. — Déclaration par Louis et Pierre Allenet, des biens et domaines du fief de l’Aiguille, qu’il tenaient de l’hôpital Saint-Louis de Saint-Jcan-d’Angely.


H. 233. (Carton.) — 1 pièce, parchemin ; 2 pièces, papier.

1773. — Titre nouvel d’une rente de 7 sols 6 deniers assise sur une maison située porte de Niort, due par Marguerite Mesnard veuve Pierre Sueur à l’hôpital Saint-Louis.


H. 234. (Carton.) — 4 pièces, papier.

1773. — Déclaration par Jacques David, curateur des mineurs Abelin, des terres que ces derniers possédaient dans le fief de l’Aiguiile, à cens et rente de l’Hôpilal Saint-Louis.


H. 235. (Carton.) — 3 pièces, papier.

1774. — Déclaration par Suzanne Guiberteau, veuve Jean-Christophe Rayé, des biens, domaines et héritages dans le fief de l’Aiguille, qu’elle tenait à cens et à rente de l’hôpital Saint-Louis.


H. 236. (Carton.) — 5 pièces, papier.

1774. — Poursuites exercées par les administrateurs de l’Hôpital Saint-Louis contre François Rocquet, pour le payement de la ferme d’un pré sis dans le fief de l’Aiguille.


H. 237. (Carton.) — 1 pièce, papier.

1774. — Déclaration par les éjioux Vinet, d’une motte du fief de l’Aiguille, tenue de l’hôpital à 7 sols 11 deniers de cens ou rente.


H. 238. (Carton.) — 1 pièce parchemin ; 2 pièces, papier.

1774. — Cession par Pierre Micheau à Pierre Albert d’une maison et jardin, près des douves de Saint-Jean-d’Angély, tenus de l’abbé au devoir de la maille d’or évaluée 7 sols 6 deniers.


H. 239. (Carton.) — 2 pièces, papier.

1774. — Déclarations fournies par Joseph Gourdon et François Bourras des domaines tenus dans le fief de l’Aiguille, à cens et à rente de i’hôpital Saint-Louis.


H. 240. (carton.) — 1 pièce, parchemin ; 11 pièces, papier.

1774. — Titre nouvel de 20 sols de rente foncière sur une vigne située à l’Ardillière, due à l’hôpital Saint-Louis par Jacques Robion et Mestadier.


H. 241. (Carton.) — 1 pièce, parchemin ; 2 pièces, papier.

1777-1789. — Titre nouvel d’une rente seconde de 6 livres sur le fief Saint-Eutrope, duc à l’hôpital Saint-Louis par Charles-Grégoire de Beauchamp, chevalier, seigneur de Grandfief, La Jarroussière, Benons, Varzai, capitaine au régiment de Penthièvre, chevalier de Saint-Louis, demeurant à Liège et Marie Payen de La Pinaudière, veuve d’Honoré Griffon de Plaineville, dame en partie de Saint-Eutrope.


H. 242. (Carton.) — 2 cahiers, in-4°, formant ensemble 16 feuillets, papier.

1779-1789. Papier censif de l’hôpital Saint-Louis, rédigé suivant les nouvelles déclarations et les titres nouveaux, ensemble un extrait du même censif.


H. 243. (Cahier.) — 1 pièce, parchemin.

1783. — Vente par Jean-Maurice Durand à dame Barbe de la Croix du Repaire, religieuse hospitalière de l’bôpital Saint-Louis, d’une pièce de terre du fief de l’aumônerie, au prix de 120 livres et à charge d’acquitter une rente foncière de 30 sols, dont elle était grevée.


H. 244. (Cahier.) — 22 feuillets, papier.

1785. — Extraits du censif de l’hôpital Saint-Louis.


H. 245. (Carton.) — 4 feuillets, papier,

1789. — Transaction par laquelle Jean Bonnesset s’engage à payer à l’hôpital Saint-Louis les frais du traitement du sieur Massiou, qu’il avait blessé grièvement dans une rixe.


H. 246. (Carton.) — 1 pièce, papier.

1790. — État des biens, tant rentes secondes, foncières, constitutives que cens, agrières, dont jouissait l’hôpital civil de Saint-Jean-d’Angély.


H. 247. (Carton.) — 71 pièces, papier.

1753-1791. — Transaction au sujet d’une rente de 120 livres constituée au profit des pauvres de l’hôpital Saint-Louis par les héritiers Berthommé et Bérard et rachetable au capital de 2,400 livres. — Adjudication du moulin de Puycherant revendiqué par l’hôpital au sieur Maurin. — Procès entre l’hôpital Saint-Louis et le sieur Lelouis, au sujet d’une rente de 345 livres 58 sols sur le domaine de la Maison-Blanche, due à l’hôpital Saint-Louis par le sieur Martin.


H. 248. (Cahier.) — 20 feuillets, papier.

1700. — Inventaire des titres et enseignements de l’hospice civil de Saint-Jean-d’Angély.


H. 249. (Cahier.) — 2 feuillets, papier.

1724-1781. — Description des documents et dossiers extraits des archives pour être consultés, et date de leur réintégration dans le dépôt.


H. 250. (Carton.) — 1 pièce, papier.

1793. — Inventaire des titres antérieurs à 1790 des revenus supprimés, amortis ou aliénés.


H. 251. (Liasse.) — 2 pièces, papier.

1696. — Désignation par Guillaume de La Brunetière, évêque de Saintes, et Begon, intendant de La Rochelle, en attendant la nomination par le Roi des administrateurs : du lieutenant général, du père prieur de l’abbaye, du maire, du curé ou vicaire perpétuel, du procureur du Roi et des sieurs Griffon, élu et Mallet, procureur, pour s’assembler et étudier les mesures nécessaires à l’établissement de l’hôpital, à la réunion des hôpitaux et maladreries et à la fondation d’une communauté de filles hospitalières à l’instar de celles d’Angoulême et de Saintes.


H. 252. (Carton.) — 2 feuillets, papier.

1697. — Traité passé entre les administrateurs de l’hôpital général et les sœurs hospitalières Françoise Mesnard (des Godinières), Marie Mesnard (de La Tâcherie) et Marguerite Mesnard (de Jarry) pour le « gouvernement » intérieur du nouvel établissement.


H. 253. (Carton.) — 1 piéce, parchemin ; 14 pièces, papier.

1597-1708. — Contrat d’échange entre Edouard Guillonuet, bénédictin, prieur de Saint-Jacques, et Mery Charrier, pair de Saint-Jean-d"Angély, d’une pièce de terre de 94 carreaux appelée le Champ des Poules contre une pièce de terre, sise derrière les moulins de Comportet et acquisition d’une maison pour agrandir l’hôpital Saint-Louis.


H. 254. (Registre.) — 174 feuillets, papier.

1697-1781. —

1697 - Mise en application de l’Edit royal portant attribution des biens des aumôneries de Lussaut, Saint-Lazare, Saint-Hilaire de Loulay, Matha, la Tour-Blanche et Frontenay-Labatu à l’hôpital de Saint-Jean d’Angély (voir ce document) — Désignation par le bureau du sieur Mallet, l’un des administrateurs, pour remplir les fonctions de secrétaire. — Choix de la maison Charrier, sur le port de cette ville, pour l’hôpital. — Nomination du sieur Griffon pour receveur. — Traité avec les dames hospitalières (21 avril 1697 Durand, notaire royal ). — Constitution définitive du bureau : de Rousselot, lieutenant criminel au siège royal ; — Pierre Peluchon, avocat au Parlement, Honoré Ailliaud, docteur en médecine, Jean Fradin le jeune, marchand, nommés directeurs amovibles, lesquels trois changeront chaque année aux jour et fête de la Circoncision. — Bénédiction de la Chapelle (22 novembre 1698. — 2 décembre 1698). — Érection de la confrérie de Notre-Dame-des-Agonisants avec indulgences (2 décembre 1698). — Nomination du procureur du Roi, Birot, en qualité de directeur et receveur, et de l’avocat Mallet, comme directeur et secrétaire du bureau (8 janvier 1699 ;. — Procuration donnée à M. Couet, avocat des conseils du Roi, pour retirer les titres et papiers, concernant ledit hôpital, qui se trouvent aux archives de l’ordre de Saint-Lazare, pour intervenir au procès pendant au rapport de M. de Ribeyre, intenté par le chevalier de Tangy et MM. de l’ordre de Saint-Lazare contre les PP. Bénédictins « pour le bien de l’hôpital, au nom des directeurs d’icelui. » (Signé) Charrier, procureur du Roy, Birot, F. Fradin, Mallet, de Bonnegens, lieutenant général. — Renouvellement des directeurs amovibles (7 octobre 1700 :Barraud, conseiller au siège ; Mallet, élu, garde-scel en l’Élection ; Levallois, avocat ; Régnier, marchand. — Le bureau s’assemble à l’abbaye, à l’issue de la messe. — Rémunération du service de l’hôpital par les Cordeliers, durant six mois : 12 livres 10 sols (27 avril 1704). — Brevet du Roi « étant à Marly » (26 juin 1710) signé Louis et plus bas Colbert, enregistré le 27 juillet 1715 au greffe du siège royal de la ville de Saint-Jean-d’Angély, signé Levallois, greffier (folios 79, 80, 109) accordant et faisant don à l’hôpital général dudit lieu du champ Ramard, pièce de terre sise au tief de Malmaire : « après la démolition du temple de la ville de Saint-Jean-d’Angéli et les défenses faites aux Religionnaires d’avoir des cimetières dans l’enceinte des villes, ils achetèrent un champ du nommé Ramard, à une portée de mousquet des fossés de la ville, dont le prix fut payé des deniers du Consistoire et de la vente des débris du temple ; depuis 1683, on y a enterré les habitants qui sont décédés dans les erreurs du calvinisme (sic) jusqu’à la révocation de l’Edit de Nantes ; depuis cette révocation, on a encore affecté d’y inhumer quelques habitants de ladite ville de Saint-Jean-d’Angéli qui sont morts avant d’être parfaitement et entièrement pénétrés des vérités de la R. C. A. et R. Et comme tous les sujets de Sa Majesté ne doivent professer que cette seule religion et qu’il ne doit rester aucun vestige de la P. Réformée, elle a résolu de faire cesser et détruire l’abus qui résulte de ce prétendu cimetière, en en faisant donation, au profit de l’hôpital général de la ville de Saint-Jean d’Angéli. »


H. 255. (Registre.) — 181 feuillets, papier.

1782-1808. — Délibérations des administrateurs du bureau de l’hôpital de charité de Saint-Jean-d’Angély, cotée et paraphées par Jean-Joseph de Bonnegens, seigneur des Hermitans, conseiller du Roi, lieutenant général en la sénéchaussée de Saintonge, au siège royal de ladite ville. — Membres du bureau : de Bonnegens, Fr. B. Lemaire, Valentin, maire ; Pelluchon de Breuil, procureur du Roy ; Fr. J. Christophe Chapot, curé de Saint-Jean-d’Angély ; Marchant de Fief Joyeux, premier échevia ; sœur Legendre, sœur Drouhet, sœur de Lacroix, sœur Martineau, supérieur ; signent également les délibérations. — Suppression des enfants de famille mis sur le compte de l’hôpital. — Acceptation de Françoise Brisson de Villards pour religieuse, laquelle a fait sa profession et vœux le 20 février 1784 et est décédée le 29 juin 1787.— Réception de Marie-Eustelle Prou, laquelle a fait profession le 9 novembre 1786. — Conflit entre le maire et le procureur du Roi au sujet de la préséance, en l’absence du lieutenant général. — Diminution du nombre des pauvres entretenus à l’hôpital. — Déclaration du Roi prescrivant de convoquer une assemblée générale pour procéder à la nomination d’administrateurs amovibles et électifs, et renseignements demandés sur les enfants trouvés exposés. — Demande de lettres patentes pour régulariser la situation des religieuses hospitalières qui « gouvernent » l’hôpital et les autoriser à recevoir des novices (21 novembre 1788).— Lettre de Pierre-Louis de La Rochefoucauld, évêque de Saintes, du 17 février 1789, pour autoriser les religieuses à se pourvoir pour parvenir à l’obtention de lettres patentes, conformément au vœu des officiers municipaux et rendant témoignage « qu’elles se conduisent de la manière la plus estimable et la plus édifiante, qu’elles rendent les services les plus marqués aux pauvres et aux malades, que leur estime fait honneur à la religion et est très utile à l’État, qu’elles sont dignes de toute manière de la protection du gouvernement. » — Copie des arrêts du Conseil d’Etat des 2 septembre 1695, ler novembre 1696, 15 décembre 1696, des délibérations des administrateurs des 21 décembre 1696, 1er janvier 1697, 17 juin 1697, 21 novembre 1698. Lettres-patentes qui autorisent l’établissement de la comnumauté des religieuses bospitalières dans l’hôpital Saint-Louis, leur permettent de recevoir des novices avec dot et de poursuivre le recouvrement des anciennes dotations qui pourroient être dues (août 1789, enregistrées au Parlement le 2 janvier 1790). — Membres du bureau : Loustalot, Mallard notable, Pyry, notable, Pongaudin, procureur syndic, Fr. Deforis, curé de Saint-Jean, sœur Prou supérieure, sœur Drouhet, hospitalière, Durand, secrétaire greffier. (10 mai 1791). — Loustalot, Robinet, Picard, Poitou Duplessy, Moullain, Bartaré, officiers municipaux, Durand, greffier (1792). — Décision du Directoire du département signée Raboteau, Rondeau, Ruamps et Esmond, greffier, autorisant la demoiselle Bouyer à se retirer de l’hôpital « soit pour vivre dans sa famille, soit pour aller dans un autre hospice pour y continuer à soulager l’humanité. — Vérification des comptes du receveur Guillonnet, signée Moulain, officier municipal, commissaire, Picard, officier municipal, commissaire. Bouquet, commissaire vérificateur, Duvergier, officier municipal, Pongaudin, officier municipal, Daniel Allenet, Mallard, notables, Allenet, Poitou Duplessy, officier municipal et Loustalot, officier municipal. — Délibération du 14 février 1792, accordant aux religieuses cinq barriques de vin rouge, pour leur tenir lieu de l’indemnité qu’elles réclament, à l’occasion de la cherté des denrées, et les autorisant provisoirement et attendu l’urgence, à se pourvoir d’un desservant, auquel il sera payé le traitement d’usage. — Nomination du sieur Esmin, comme chirurgien, chargé du service journalier de l’hôpital, aux gages de 300 livres. — Nomination, comme aumônier, du P. Vincent, prêtre assermenté, à la rétribution annuelle de 250 livres, par suite du départ du P. Constantin, ci-devant Cordelier (20 juillet 1792). — Arrêté relatif aux bâtards et établissement d’une boite ou tour (2 octobre 1792). — Nomination de Levallois, comme caissier, en remplacement de Guillonnet ; — puis de Brassaud aux mêmes fonctions (9 nivôse an II). — Projet d’un nouveau régime pour l’hôpital de charité du port (19 pluviôse an II). — « Il sera fait à l’instant, par les officiers municipaux, comme administrateurs de l’hôpital de charité, un mandement de douze mille livres à titre d’emprunt sur le caissier de ce district, en faveur du receveur dudit hôpital, pour ledit mandement, préalablement visé par les administrateurs dudit district, servir à acquitter ce qui est dû au boucher, au boulanger et à tous les autres, payer journellement le pain et autres objets de consommation et commencer à faire les approvisionnements nécessaires audit hospice. Le département sera instamment invité à prendre les plus promptes mesures pour la stabilité du régime de l’hôpital de charité et pour assurer aux pauvres les secours que la Convention se fait un devoir de leur accorder. En attendant, le département sera également prié d’envoyer une ordonnance de somme suffisante pour l’entretien des pauvres et pour l’achat des denrées, dont il est instant de s’approvisionner. Expédition du présent arrêté sera de suite adressée au directoire de ce district pour y donner son avis et l’envoyer sur le champ au département qui voudra bien aussitôt, attendu l’urgence, le prendre en considération. » — Faure, officier municipal, Paroche Du Frêne, maire ; Berthonnière, officier municipal ; Mestadier, officier municipal ; E. Quantin, officier municipal ; Mangeais, procureur de la commune ; Peroche, officier municipal (2 messidor an III). — Construction d’un four dans l’hôpital. — Bureau : (21 fructidor an VI) Dautriche, président ; Jacques-Pierre Grelat, secrétaire ; Levallois, receveur. — Souscription faite pour l’hospice au temple décadaire, le jour de la Souveraineté du peuple (30 ventôse an VII). — Nomination de Brillouin, receveur, à la place de Levallois (28 vendémiaire an XI). — Traitement de l’aumônier : 200 livres. — Règlement du service des hospitalières laïques (20 ventôse an XI) : Madame Drouhet, directrice ; Mademoiselle Mervault, première adjutrice ; Mademoiselle Roger, seconde adjutrice. — Proposition du citoyen Desbarres pour le poste d’aumônier. — Établissement d’un tronc dans l’oratoire. — Nomination du citoyen Brunis, comme officier de santé. — Remise aux fabriques des titres qui les concernent. — Nomination d’Oliveau, comme médecin honoraire de l’hospice. — Nomination de Duret, comme aumônier, au traitement de 100 livres. — Arrêté préfectoral adjoignant à la commission de l’hospice, Brillouin, magistrat de sûreté. — Logement et chauffage de l’aumônier de l’hospice (15 thermidor an XIII). — « Quoiqu’on ait trouvé depuis plusieurs années dans les personnes charitables qui, sans autre motif et sans autre règle que leur amour pour l’humanité, se sont vouées au service des pauvres dans l’hospice de Saint-Jean-d’Angély, un zèle et des soins qu’aucunes circonstances n’ont vu se ralentir, on n’a pu prétendre à cette unité d’action et à cette régularité dans tous les détails de l’administration intérieure, qui n’existent réellement que dans des filles uniquement vouées par état, par caractère, par principe et par religion à cette mission honorable et pieuse. Que s’il est du devoir ne l’administration de reconnaître les soins généreux et désintéressés de la directrice actuelle de l’hospice et de celles des dames qui, de concert avec elle, oui le plus coniribué à prévenir son anéantissement dans les circonstances critiques où il s’est trouvé, cette reconnaissance ou plutôt ce qu’on leur doit, ne peut faire aux administrateurs l’obligation de conserver un ordre de choses auquel on peut, dans l’intérêt de cet établissement, substituer un ordre reconnu meilleur. » — Adhésion des administrateurs aux conditions requises par les Filles de la Sagesse pour leur admission à l’Hospice. — Parenteau, Lameullière, Brillouin, Normand, Griffon, président ; Duplessis. — Retraite à l’Hospice de Madame Drouhet, directrice, avec un traitement viager de SO francs qui serait porté à 150 francs si elle renonçait à la faculté de rester à l’Hospice. — Pension viagère de 100 francs à Mademoiselle Mervault (décret du 20 mars 1807). — Départ de Madame Drouhet de l’Hospice de Saint-Jean-d’Angély pour celui d’Angoulême (17 octobre 1807). — Entrée en fonctions des Sœurs de la Sagesse (1er octobre 1806). — Fondation faite à l’hospice et aux écoles de charité par M. Regnaud, conseiller d’Elat. — Nomination, comme aumônier, de l’abbé de Meschinet, à la place de l’abbé Duret, au traitement annuel de 60 francs et 80 francs de loyer, dans la maison des héritiers Guilloteau. — (10 décembre 1806). (On doit à l’abbé de Meschinet des chansons en patois saintongeois.)


H. 256. (Liasse.) — 46 pièces, papier.

1699-1702. — Compte rendu par Jean Birot, procureur du Roi, receveur des deniers de l’hôpital Saint-Louis et pièces à l’appui de sa gestion. — Recettes : 1,120 livres 13 sols 8 deniers. — Dépenses : 906 livres 6 sols. — Les comptes sont vérifiés par les membres du bureau : de Bonnegens, lieutenant-général, Charrier, procureur du Roi ; Mallet, Birot et Pelluchon.


H. 257. (Cahier.) — 17 feuillets, papier.

1710-1716. — Compte rendu de la gestion de Mallet, trésorier et receveur de l’hospice. — Recette : 8,240 livres 12 sols 5 deniers. — Dépense : 8,189 livres
17 sols 1 denier.


H. 258. (Liasse.) — 1 pièce, papier.

1714. — Devis de la construction et des travaux de réparations à faire à l’hôpital Saint-Louis.


H. 259. (Liasse.) — 39 cahiers, formant 140 feuillets.

1721-1788. — Quittances et mandats justificatifs de la comptabilité des receveurs de l’hôpilal Saint-Louis.


H. 260. (Liasse.) — 1 pièce, papier.

1721-1724. — Extrait du compte des recettes de Mongis, receveur de l’hôpital Saint-Louis, en ce qui concerne les versements opérés par Mallet, receveur des revenus de l’évêque de Bayonne, abbé de Saint-Jean-d’Angéiy.


H. 261. (Cahier.) — 15 feuillets, papier.

1725-1731. — Compte de la gestion d’Etienne Perraudeau, substitut de MM. les gens du Roi et trésorier de l’hôpilal Saint-Louis.


H. 262. (Carton.) — 1 pièce, papier.

1773. — Extrait des délibérations du bureau de l’hôpital Saint-Louis nommant trésorier de l’hospice François-Gabriel Guillonnet.


H. 263. (Liasse.) — 15 cahiers, formant 150 feuillets, papier.

1773-1793. — Comptes de la gestion dudit Guillonnet, trésorier de l’hospice.


H. 264. (Registre.) — 94 feuillets, papier.

1775-1784. — Livre de dépenses des pauvres entretenus par l’hôpital.


H. 265. (Registre.) — 58 feuillets, papier.

1784-1792. — Livre des dépenses des pauvres entretenus par l’hôpilal. — Janvier, 389 livres 16 sols ; février, 309 livres 6 sols ; mars, 334 livres 1 sol ; avril,
310 livres 4 sols ; mai, 354 livres 5 sols ; juin, 340 livres 2 sols ; juillet, 285 livres 15 sols ; août, 303 livres 5 sols ; septembre, 321 livres 15 sols ; octobre, 313 livres 15 sols ; novembre, 330 livres 13 sols ; décembre, 347 livres 15 sols.


H. 266. (Liasse.)— 14 pièces, papier.

1691-1790. — Acte de réception de Marianne de Sainte-Hermine, comme sœur hospitalière de l’hôpital de Saint-Jean-d’Angély et constitution de sa dot, par messire Louis de Sainte-Hermine, sieur de Mérignac et de La Toucherolle, et dame Marie de Livaine, ses père et mère. — Lettres patentes de Louis XVI, approuvant et autorisant l’établissement de la communauté des religieuses hospitalières dans l’hôpital Saint-Louis de Saint-Jean-d’Angély (août 1789). — Traité passé entre sœur Françoise Mesnard, dite des Godinières, fille hospitalière professe de la maison de Saintes et les administrateurs de l’hôpital général de Saint-Jean-d’Angély, pour le gouvernement dudit hôpital, conformément aux règlements adoptés dans les hôpitaux de Saintes et d’Angoulême (21 avril 1697). — Délibérations du Corps de Ville et procès-verbal de l’assemblée générale des habitants approuvant l’établissement de la communauté des filles hospitalières dans ledit hôpital (24 septembre 1702). — Traités passés par les administrateurs de l’hôpital avec François Piet, sieur de la Bergerie, pour la réception en qualité de sœur hospitalière et la dot d’Anne Piet de la Bergerie, sa fille ; — avec Marguerite Guillet, veuve de Jacques Charrier, sieur de La Claudrie, pour celle d’Anne Charrier ; — avec Marie Lamoureux, Marguerite-Suzanne Legendre ; Barbe de La Croix du Repaire ; Françoise Brisson de Villars ; Elisabeth Gaudin et Marie-Estelle Proux, aussi sœurs hospitalières (1691-1786). — Consultation sur la régularité de l’établissement des sœurs hospitalières, par Roullet, avocat au Parlement de Bordeaux (1788).


H. 267. (Registre.) — 150 feuillets, papier.

1765-1792. — Comptes des dépenses des enfants assistés entretenus par l’hôpilal.


H. 268. (Liasse.) — 35 cahiers, papier.

1769-1790. — Procès-verbaux d’exposition des enfants trouvés.


H. 269. (Liasse.) — 6 pièces, papier.

1779-1788. — Arrêt du Conseil d’Etat concernant les enfants trouvés. — Supplique au directeur général des finances pour obtenir que les enfants bâtards ou exposés fussent mis à la charge du domaine, comme à Saintes et à Rochefort. — Placet adressé au baron de Breteuil pour solliciter des secours pour l’entretien des enfants bâtards exposés (22 février 1773).


H. 270. (Liasse.) — 2 feuillets, parchemin ; sceaux perdus.

1614. — Vente par Joseph Deputier et Renée Esmon, son épouse, à Isaac de Ligoure, sieur des Forges et de la Fragnée, d’une maison sise rue Rose, à Saint-Jeau-d’Angély.


H. 271. (Liasse.) — Cahier imprimé, 33 feuillets, papier.

1653, — Règlement de l’Hôtel-Dieu de Notre-Dame des Anges de la ville d’Angoulême.


H. 272. (Liasse.) — 2 pièces, papier.

1738. — Quittance notariée d’une somme do 13 livres, arrérages d’une rente seconde appuyée sur une maison de la rue Rose et due par les nommés Chabot et
Barbaud.


H. 273. (Liasse.) — 1 pièce, papier.

1756. — Brevet d’un office de judicature de la juridiction de l’hôpital de Meuse et Rhosne, délivré par le frère Ferdinand de Langon, chevalier de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem, commandeur du Temple de La Rochelle.


H. 274. (Liasse.)— 3 feuillets, papier.

1786. — Contrat de mariage de Marie Barbion avec Jacques Rousseau.

 Aumônerie de Bresdon réunie à l’hospice Saint-Louis de Saint-Jean-d’Angély.

H. 275. (Liasse.) — 5 pièces, parchemin ; 22 pièces, papier.

1494-1774. — Testament de Jean Martineau, écuyer, seigneur du Breuil Bastard, par lequel il donne 10 sols de rente à l’aumônerie de l’abbaye de Bresdon, diocèse de Saintes. — Ordonnance de l’intendant de La Rochelle attribuant à l’hôpital Saint-Louis de Saint-Jean-d’Angély les revenus de ladite aumônerie.

Messages

  • Peut-être pourrez vous m’aider dans mes recherches restées vaines jusqu’à ce jour.
    Je vous explique mon cas (je l’espère non déséspéré).
    Le 3 avril 1827 est né un enfant à SAINT JEAN D’ANGELY (17) enfant naturel non reconnu, déposé à la boîte de l’hospice de St Jean D’ANGELY, déclaré par la bonne soeur MEDARD. Il lui a été donné le nom de François ALPHIER.
    Sur l’acte de naissance aucun autre détail. il est précisé au bas de l’acte que le dossier concernant cet enfant a été déposé aux archives du dit hospice.
    Je ne trouve aucune trace de ce dossier malgré mes courriers au centre Hospitalier de St Jean-d’Angely, aux archives départementales de LA ROCHELLE, aux archives de l’Assistance Publique à Paris, à la Direction de la Solidarité départementale du Conseil Général à la Rochelle.
    Ce jour, je viens de trouver par hasard (généanet) son acte de décès en 1891 à Luçon (85) ou il est précisé fils de MOURIGEON Madeleine !! (peut-être une nouvelle piste !!!)
     
    Je ne sais plus ou chercher d’autant que le nom ALPHIER a disparu de France depuis le décès de ma grand mère en 1994.
    Je voudrais connaître l’origine de ce nom.
    Ou peut on trouver les archives de l’hospice de St Jean d’Angely de 1827 ????

    Merci à l’avance de votre aide.
    Françoise PICOT
     

  • Bonjour

    Mon ancêtre, François ALPHIER est né le 3 avril 1827 et a été déposé devant l’hospice de ST JEAN D’ANGELY (17). Sur son acte de naissance, il a été précisé que le dossier relatif à cet enfant se trouve dans les archives du dit hospice.
    Enfant naturel non reconnu déclaré par la Bonne Sœur ST MEDARD.
    (Un procès verbal a été dressé pour rester aux archives du dit hospice afin d’y avoir recours au besoin.)

    Je n’arrive pas à trouver la trace de ce dossier malgré mes recherches aux AD de la Rochelle il y a une vingtaine d’années.
    Vu votre article, peut-être y a t’il d’autres pistes ?
    J’ai perdu toute trace de lui jusqu’à son mariage à NIORT (79) le 27 juin 1849.
    J’aimerai savoir ce qu’il est devenu après sa naissance, a-t-il été recueilli ou placé chez une nourrice ? J’aimerai surtout savoir l’origine de son nom : ALPHIER.
    Par un heureux hasard, j’ai trouvéil y a quelques jours son acte de décès à Luçon (85) en 1891 ou il est mentionné le nom de sa mère, Madeleine MOURIGEON !!
    Avez vous des pistes pour orienter mes recherches ? MERCI Françoise PICOT

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