A la différence de leurs voisines "de l’intérieur", ces deux pagi n’ont pu affirmer son identité à l’époque féodale, soumis l’un aux comtes de Poitou « soit lors des guerres d’Aquitaine, soit lors des premières invasions normandes » ; l’autre aux comtes d’Angoulême à partir de ces mêmes invasions. En 1904, en marge de l’Histoire des comtes de Poitou d’Alfred Richard, Jean le Saintongeais (le botaniste Jean-Alexandre Guillaud) dessine à grands traits la carte de ces deux influences, d’abord dans un grand Aunis qui va de la Boutonne (Saint-Jean d’Angély) jusqu’à Niort, de l’autre côté de la Sèvre ; puis dans une Saintonge orientale et méridionale qui n’est bornée que par la Gironde et par les territoires concédés un temps au comte d’Anjou.
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