Les Helvètes rêvent d’émigrer massivement en Saintonge : comme on les comprend ! Mais Jules César n’est pas d’accord et vole au secours des Santons.
C’est la 1ère mention du pays des Santons dans un écrit (Commentaires de la Guerre des Gaules en 58-52 av JC).
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0058 av JC - 1000 - Les grandes invasions.
Articles
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-58 av JC - Le pays des Santons, province romaine, sous César
22 août 2007, par Pierre -
1018 - 1062 - les Angevins en Saintonge.
13 mai 2009, par ChristianOn sait que l’abbaye aux Dames de Saintes fut fondée par Geoffroy, comte d’Anjou, et sa femme Agnès, mais comment ces derniers en vinrent-ils à s’intéresser à notre région ? En 1853, peu avant sa disparition prématurée, et avec la même rigueur que dans son travail sur les vigueries, le magistrat poitevin Léon Faye démonte les allégations des historiens angevins, selon lesquels leurs anciens comtes auraient eu des droits héréditaires sur la Saintonge.
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800 (c) Charlemagne combat les Sarrasins à Taillebourg et à Saintes
17 mars 2008, par PierreMais le jour devant que les eschièles des Chrestiens feussent rangiées et ordonnées devant les héberges, pour combatre, avint une merveilleuse chose ès prés qui sont entre la cité et un chastel qui a nom Taillebourc.
Pour en savoir plus sur cet évènement merveilleux survenu à Taillebourg, un simple clic ... -
860 - 1000 (c) - L’Aunis et la Saintonge à l’époque féodale, par ’Jean le Saintongeais’
31 mai 2010, par ChristianA la différence de leurs voisines "de l’intérieur", ces deux pagi n’ont pu affirmer son identité à l’époque féodale, soumis l’un aux comtes de Poitou « soit lors des guerres d’Aquitaine, soit lors des premières invasions normandes » ; l’autre aux comtes d’Angoulême à partir de ces mêmes invasions. En 1904, en marge de l’Histoire des comtes de Poitou d’Alfred Richard, Jean le Saintongeais (le botaniste Jean-Alexandre Guillaud) dessine à grands traits la carte de ces deux influences, d’abord dans un grand Aunis qui va de la Boutonne (Saint-Jean d’Angély) jusqu’à Niort, de l’autre côté de la Sèvre ; puis dans une Saintonge orientale et méridionale qui n’est bornée que par la Gironde et par les territoires concédés un temps au comte d’Anjou.