En 1552, si Ronsard l’a déjà enrôlé dans une Brigade qui deviendra la Pléiade, Jean-Antoine de Baïf n’est pas encore celui qui imaginera, avec une réforme de l’orthographe, des vers mesurés à l’antique, en longues et brèves, dans la perspective d’une union étroite entre poésie et musique. Il n’a que vingt ans et, comme Ronsard, il publie à la fin de l’année des Amours inspirés de Bembo et de l’Arioste, mais qui n’innovent guère du point (...)
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