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1507 – Le seigneur d’Authon et ses pirateries, par Jean d’Auton, historiographe du roi Louis XII

mercredi 16 mai 2012, par Pierre, 1117 visites.

Une affaire un peu obscure et controversée : Jean d’Auton, moine bénédictin, peut-être saintongeais d’origine, mais rien ne l’atteste, historiographe du roi Louis XII, raconte dans une chronique de 1507 les pirateries et mauvais coups d’un homonyme saintongeais authentique, commis par le seigneur Antoine d’Authon (Charente-Maritime). Pirateries de quoi le roi fut si très-mal content, qu’il dit que, s’il le pouvoit tenir, qu’il en feroit belle justice que ce seroit à l’exemple de tous autres. Authon, si je t’attrape ...

Source : Mémoires de Jean d’Auton, publiées pour la première fois en entier - Paul L. Jacob – Paris - 1834 - Google Livres

PRÉFACE.

On ne saurait absolument rien de la vie de Jean d’Auton, si son élève et ami Jean Bouchet ne lui avait fait, dans le goût de son siècle, une épitaphe en vers assez semblable à une notice biographique ; malgré cela, on est encore réduit à des suppositions sur sa famille, sur sa naissance et même sur son nom.

En effet plusieurs maisons d’Anthon, ou d’Authon, ou d’Auton, existaient à cette époque, l’une en Dauphiné, l’autre en Beauce, une troisième en Flandre, une quatrième en Saintonge ; une seigneurie d’Auton était à la maison du Bouchage, une autre à la maison du Bosc ; il y avait une baronnie et un marquisat du même titre : les généalogies de ces maisons différentes n’ayant point été publiées, il est impossible de découvrir à laquelle appartenait l’historien Jean d’Auton , qui n’avait peut-être pas d’autre noblesse que celle de son mérite, et qui se nommerait alors roturièrement Dauton, comme on le trouve dans le catalogue des abbés d’Angle, au tome II de Gallia Christiana ; ou Danthon, comme l’écrit Lacroix du Maine dans sa Bibliothèque Françoise. Au reste, il cite plusieurs fois dans sa chronique des hommes d’armes nommés de même que lui et surtout un seigneur d’Auton en Saintonge, dont il raconte en détail les pirateries, sous l’année 1507 : de quoi le roi fut si très-mal content, qu’il dit que, s’il le pouvoit tenir, qu’il en feroit belle justice que ce seroit à l’exemple de tous autres ; mais Jean d’Auton ne dit nulle part que ce seigneur ou ces hommes d’armes fussent ses parens, et l’on peut croire qu’il n’eût pas omis cette particularité dans son livre, si fidèle pour les généalogies.

Théodore Godefroy, son premier éditeur, l’appelle d’Auton ; Guy Allard , d’Authon, dans la Bibliothèque du Dauphiné ; Roquefort, d’Autun, on ne sait pourquoi, dans la Biographie Universelle. Les manuscrits et les imprimés faits sous ses yeux le nomment tantôt d’Auton , tantôt d’Anton.

On lit dans la 67e des Epîtres Familières de Jean Bouchet :
Georges avoit une veine élégante ,
Grave et hardie, et frère Jean d’Authon
Douce et venuste, et Lemaire abondante ;
Le Charretier prose avoit de haut ton...

mais on lit son nom équivoqué d’une autre manière dans une épître de Guillaume Crétin :
Et si l’écrit, comme on le voit issu
De moi, n’est tel que si l’avoit tissu
Le révérend abbé, le bon d’Anton :
Merveille n’est, car il abonde en ton
D’harmonieux ou suave langage.

Guy Allard le fait naître à Beaurepaire en Viennois ; l’abbé Goujet, dans sa Bibliothèque Françoise, à Poitiers ; Dreux du Radier, dans sa Bibliothèque de Poitou, en Saintonge : cette opinion est la plus accréditée.

Jean d’Auton était sans doute un moine très-obscur (non pas de l’ordre de St-Augustin, comme on l’a prétendu , mais de l’ordre de St-Benoît, comme il le dit lui-même au prologue du troisième livre de sa chronique) , lorsqu’il écrivit, en 1499, son poème des Alarmes de Mars sur le voyage de Milan et sa chronique du Voyage de Milan, ces deux ouvrages qui ne portent pas son nom, mais qui sont incontestablement sortis de sa plume ; quoiqu’il eût la modestie de se dire dans le prologue très-lointain imitateur de l’art oratoire, il fut sans doute distingué et encouragé par la reine Anne de Bretagne, qui se faisait une cour de poètes et de savans. « Je qui suis des petits le moindre, dit-il dans une dédicace à cette princesse, il vous a plu me faire élargir et disperser des miettes tombantes de votre table pour la substantion de ma pauvre humanité. »

Il devint historiographe et chroniqueur du roi, qui lui donna en récompense l’abbaye d’Angle en Poitou, outre les pensions et les dons attribués à chaque nouvelle besogne poétique ou historique. Jean d’Auton accompagnait partout Louis XII, dont il rédigeoit par lettres les louables oeuvres.

 XLIV - Comment, durant le temps que le roi étoit delà les monts, messire Jean Chapperon et un nommé Antoine d’Auton, seigneur dudit lieu, se mirent sur mer, où firent plusieurs courses, de quoi le roi fut mal content.

Lorsque le roi étoit à son voyage de delà les monts, comme j’ai dit, le roi des Romains et les Flamands, sachant son éloing et lui et son armée hors le royaume de France, recommencèrent la guerre au duc de Gueldres, parent du roi, et donnèrent sur ses pays : lequel , avec l’aide des gens de sa terre et d’aucuns François qui à lui s’étoient retirés, lors très-vigoureusement se défendit ; mais pour longuement soutenir grosse charge de guerre, et soudoyer grand nombre de gens d’armes, ne pouvoit, combien qu’il eût le vouloir assuré et le cœur vertueux.

Tantôt furent semées les nouvelles de cette guerre en France, dont aucuns des gens d’armes françois, étant lors en garnison en Bourgogne, oyant ce bruit, dirent que volontiers se trouveroient au secours de ce pauvre prince, duc de Gueldres, tant pour vouloir faire service au roi, de qui il étoit parent, que pour exécuter la guerre et soutenir la querelle des foulés. Dont, entre autres, deux gentilshommes de la compagnie de messire Aymar de Prye, nommés, l’un, messire Jean Chapperon, très-hardi chevalier, seigneur de Couhé-de-Vache en Aunis, et l’autre, Antoine d’Auton, seigneur dudit lieu d’Auton en Saintonge, jeune et bien gaillard homme d’armes, dirent que passer par terre étoit chose difficile à faire pour les embûches des Flamands, qui gardoient lors les passages. Et voulant y aller par mer, firent provision, ledit Chapperon, d’une nef de quatre cents tonneaux, et, le seigneur d’Auton, d’une barque de soixante tonneaux. Et ce pendant qu’ils armèrent et équipèrent leurs vaisseaux, messire Jean Chapperon transmit devers le duc de Gueldres un homme d’armes de ceux de messire Aymar de Prye, nommé le Chevalier-vert [1], pour avoir son aveu pour lui et pour ledit seigneur d’Auton, et aussi pour en récrire au roi, qui étoit lors delà les monts. Celui Chevalier-vert fit son message en manière qu’il passa jusques en Gueldres, et là, bailla les lettres de Chapperon au duc de Gueldres, lequel les reçut volontiers, et par icelles, connoissant le bon vouloir dudit Chapperon et du seigneur d’Auton, accepta leur service, et leur dépêcha et envoya par ledit Chevalier-vert lettres d’aveu, et en récrivit au roi. Advint que ledit Chevalier, en retournant, fut connu par les Flamands être François ; et, pour ce, le prinrent et arrêtèrent , et lui trouvèrent les lettres du duc de Gueldres, dont le détinrent prisonnier par l’espace de six mois. Parquoi, ledit Chapperon ne put avoir son aveu, ni autres nouvelles du duc de Gueldres, si n’est que, par aucuns venants dudit pays de Gueldres, ouït dire que ledit duc avoit dépêché son messager auquel avoit baillé son aveu et lettres, pour adresser au roi, touchant l’affaire, qui fut tel, que, après les nouvelles ouïes de l’aveu, messire Jean Chapperon et ledit seigneur d’Auton mirent cinq cents hommes de guerre en leurs vaisseaux, c’est à savoir : quatre cents dedans la nau dudit Chapperon, et cent, dedans la barque du seigneur d’Auton, et se mirent sur mer, à queue de vache, lesquels s’en allèrent à une rade sur mer, nommée La Palice, près La Rochelle, pour là faire avitailler leurs vaisseaux, où demeurèrent un mois. Et comme ils fussent là pour faire leur pourchas de vivres, deux autres navires marchands anglois, chargés de draps et de saumons d’étain, passèrent près desdits navires de guerre, sans vouloir faire révérence, comme marchands doivent, selon les ordonnances de mer ; mais, par leur fierté, voulurent aller au-dessus du vent. Ce que voyant le capitaine Chapperon, étant en sa nef de guerre, leur fit tirer deux coups d’artillerie, pour les arrêter, lesquels sans autre bruit s’arrêtèrent et ancrèrent près la nef dudit Chapperon. Après qu’ils furent là attachés, le seigneur d’Auton s’en alla dedans la nef de son compagnon, et laissa en la barque un nommé Gombault, son lieutenant. Ce fait, le capitaine Chapperon et ledit seigneur d’Auton soupèrent ensemble et couchèrent cette nuit dedans la nef dudit Chapperon.

Cette nuit, les matelots de la barque du seigneur d’Auton, après bien dringuer, dirent aux gens de guerre qui étoient là dedans : « Que voulez-vous dire, messieurs ? vous êtes gens de guerre, cherchant votre aventure sur mer, laquelle avez ici en vue rencontrée, et belle prise : car ce sont cursoires [2] contrefaisant marchands ; lesquels, s’ils vous tenoient aussi près de Londres qu’ils sont près de La Rochelle, vous prendroient prisonniers et détrousseroient. Pour ce, leur devez aller donner un alarme, et nous irons avec vous. » Et ce dit, sur la mi-nuit que le capitaine Gombault se fut retiré en sa chambre, un nommé Pérot d’Aujac, et un autre, nommé Aubert de Massoignes, jeunes gentilshommes, avec les mariniers, jusques au nombre de douze, entreprinrent, à la suasion desdits matelots, d’aller ravager les navires desdits Anglois ; et de fait, sortirent de la barque, et se mirent dedans un esquif, sur l’heure de minuit, et s’en allèrent jeter dedans l’un des navires d’iceux marchands, où se battirent bien étroit à l’entrée, car les Anglois, dont aucuns d’eux ouïrent venir les François, crièrent alarme tellement que chacun se mit en défense ; où furent d’un côté et d’autre plusieurs blessés. Mais à la parfin, les François entrèrent par force, et prinrent là dedans quatre pièces de draps avec les mantes et habillemens des Anglois. Ce bruit fut grand, tellement que le capitaine Chapperon et le seigneur d’Auton, qui assez près de là étoient, ouïrent le hutin, qui guère ne dura ; car les François firent à coup leur prise et s’en retournèrent à leur barque. Mais par lesdits capitaines, tout en l’heure, fut envoyé un gentilhomme, nommé René Balan [3], seigneur de Maulevrier en Anjou, devers le maître des navires anglois, pour savoir quel bruit c’étoit. « Ce sont, dit-il, aucuns de vos François qui, par force et d’emblée, sont venus assaillir nos navires et entrer dedans,. et ont iceux pillés en sûreté et emporté ce qu’ils ont voulu, et blessé mes gens,. sans ce qu’il y ait guerre ne division entre le roi de France et le roi d’Angleterre, mon maître ; au moins, de quoi je sois averti ne que je sache.— Or, vous, en venez parler au capitaine Chapperon, dit celui René Balan, et soyez sûr que si quelque extorsion ou grief vous a été fait par ses gens ou autres de son aveu, que telle raison vous en sera faite, que devrez être content. » Et ce dit, le maître d’iceux navires anglois s’en alla parler au capitaine Chapperon, auquel dit comment ses gens l’étoient venus piller de nuit et par force entrer en ses navires, où avoient pris et emporté ce qu’ils avoient pu. Sur quoi ledit Chapperon fit inquisition et trouva que ceux de la barque du seigneur d’Auton avoient fait l’exploit : pour lequel avérer, ledit seigneur, tout en l’heure, transmit querir Andrieu Gombault, son lieutenant en la barque, et ceux qui avoient été au ravage, auxquels dit : « Et comment va ceci, Gombault ? Qui vous a mu d’envoyer ou souffrir aller mes gens faire ce bruit de nuit et piller les navires de ce marchand anglois, qui, à la sûreté du capitaine Chapperon et de moi, s’est ici arrêté comme en notre sauvegarde et fiance, sachant que, entre le roi notre maître et le roi d’Angleterre, n’a guerre ne division, mais paix, amitié et concorde ? Dont nous autres François n’avons droit ne querelle contre les Anglois, ne marque sur les marchands d’Angleterre. Parquoi, faut que vous répondiez de cet affaire et répariez le méfait. Sur quoi ledit Gombault s’excusa, disant qu’il ne savoit aucune chose de l’entreprise, et que, pendant ce qu’il étoit en sa chambre, ladite course avoit été faite, de quoi n’en avoit jamais rien su, jusques à celle heure. Voyant, le seigneur d’Auton, l’excuse de son lieutenant, demanda à un nommé Pérot d’Aujac, et aux autres qui avoient été audit ravage, qui les avoit mu de ce faire, disant : « Si nous sommes ores gens de guerre et sur mer, si n’est-il pas dit pourtant ne permis que nous, en manière de pirates ou larrons de mer, devions faire la guerre à autres qu’aux ennemis du roi et du duc de Gueldres, duquel nous disons avoir l’aveu, ne que tout nous soit de prise. A cette fin vous faut répondre, pourquoi ne en quelle querelle avez été courir sur les navires des Anglois, auxquels n’avons nulle question ne défi de guerre ? » Celui d’Aujac et un autre nommé Aubert de Massoignes, jeunes gentilshommes, firent réponse, que les matelots de leur barque leur avoient mis en tête et dit qu’iceux Anglois étoient de bonne guerre et de droite prise ; disant que c’étoient écumeurs de mer, et qu’ils leur pouvoient courir sus sans danger : parquoi, comme non usités de la mer et nouvelliers en icelle, pensant avoir bon droit et bien faire, avoient cru iceux matelots, et, à leur suasion, fait ladite course, et ainsi s’en excusèrent. Dont ledit d’Auton fit rendre le pillage, et bailler tout audit marchand Anglois ; et, pour faire droit du tout, furent lesdits matelots envoyés prisonniers à un nommé Pierre Langlois [4], vice-amiral, étant lors à La Rochelle, pour en faire justice, comme de raison ; et puis, renvoyés lesdits Anglois tout à sûreté.

 XLV. D’aucunes courses et prises que messire Jean Chapperon et le seigneur d’Auton firent en mer sur les Flamands, ennemis du duc de Gueldes, duquel s’avouoient iceux Chapperon et d’Auton.

Tantôt après que les navires d’Angleterre eurent pris le vent pour eux retirer, un autre navire espagnol, de Saint-Sébastien d’Espagne, du port de trois cents tonneaux, chargé de marchandise, passa près de là, à une lieue desdits navires du capitaine Chapperon et du seigneur d’Auton, et s’en alla ancrer à un lieu nommé Chef-de-Bois près La Rochelle, pour illec faire change de marchandise : lequel après avoir mis ancre à fond, pource qu’il étoit nouvellement arrivé, le seigneur d’Auton voulant savoir qui il étoit, se mit après avec sa barque. Et lui, approché jusques à pouvoir parler ensemble, demanda à iceux qui là dedans étoient, d’où étoit celui navire : lesquels dirent qu’il étoit d’Espagne. « Eh bien ! dit le seigneur d’Auton, tout un, tout un ; nos maîtres sont bons amis, dont nous devons l’un l’autre secourir. » Puis dit au maître du navire espagnol : « Seigneur, je vous veux bien avertir qu’un mien compagnon, nommé Chapperon et moi, sommes nouvellement mis sur mer, pour servir le roi notre maître et aucuns de ses alliés. Mais nos navires sont un peu mal garnis d’artillerie ; parquoi nous est métier en recouvrer : pour ce, si vous en avez davantage, nous vous voulons bien prier de nous en prêter ou vendre à crédit, pour nous aider à faire notre navigage, et nous vous donnerons bonne sûreté de vos pièces. « Ce que ne voulut ledit Espagnol, disant qu’il n’étoit point tenu de les en fournir, et qu’il n’en avoit pièce qui besoin ne lui fit ; parquoi n’en auroient s’ils ne l’avoient par force. « Si par amour, dit le seigneur d’Auton, ne voulez vendre ou prêter, sachez que autrement en aurons. » Et ce dit, s’en retourna devers le capitaine Chapperon, auquel fit rapport du refus dudit Espagnol : de quoi se malcontenta, disant qu’il en aura s’il se peut joindre avec lui ; et en l’heure fit lever l’ancre. Et ce fait, tirèrent à Chef-de Bois, à voile tendue, adressant vers le navire de celui Espagnol, lequel, voyant l’escarmouche dressée contre lui, dit qu’il s’ôtera de la voie : dont fit hâtivement lever ses appareils et se mit à la fuite, et eux après, et tant le suivirent, que, environ la minuit, l’atteignirent prés d’une île nommée l’île d’Yeu [5]. L’Espagnol, qui étoit artillé bien à point et garni de gens de main à suffire, voyant qu’il étoit atteint, dit à ses gens : « Sus, compagnons ! il nous est besoin de défendre le navire pour garantir nos vies et sauver nos biens ; car la fuite ne nous peut plus de rien servir. Pour ce, chacun mette la main à la défense, car métier en est. » Et ce dit, fit charger son artillerie et armer ses gens, et iceux mettre à la défense de son navire. Le capitaine Chapperon et son compagnon commencèrent à donner dessus coups d’artillerie, et le voulurent mettre entre eux deux pour l’assaillir de tous côtés...


[1Il est probable que le Chevalier vert est le même que l’Amant vert, sous le nom duquel Jean Lemaire a composé une partie de ses poésies galantes en l’honneur de Marguerite d’Autriche. M. W... avance pourtant, dans la Biographie universelle, à l’article Lemaire, que cet Amant vert était un perroquet, ce qu’il prétend prouver par quelques vers qui peuvent se rapporter à cet oiseau aussi bien qu’à un véritable amoureux portant le vert pour couleur.

[2Corsaires

[3Il faut ajouter la particule de au nom de René Balan , qui est écrit de Balan dans les généalogies.

[4Pierre Langlois, vice-amiral, est omis dans le catalogue des amiraux et généraux des galères de France.

[5C’est l’île d’Yeu ou Dieu sur la côte de Poitou.

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