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1657 - Requête des habitants de Genac (16) pour obtenir une décharge de taille

jeudi 19 mars 2009, par Pierre, 1186 visites.

Pendant la Fronde, comme pendant toutes les guerres, la misère s’abat sur les campagnes. A Genac, la situation est réellement catastrophique. Les habitants font un état des lieux, dans l’espoir d’obtenir un allègement de l’impôt de la taille. Cas exceptionnel, on a ici un début de réponse de l’administration fiscale, qui fait une "chevauchée" sur les lieux pour constater l’étendue du malheur.

Source : Archives historiques de la Saintonge et de l’Aunis. - Année 1874

 1657. - Requête présentée par les habitants de Genac aux officiers de l’élection de Cognac, pour obtenir une décharge de taille [1]

- Original conservé dans les minutes de Me Callandreau, notaire à Cognac.

A messieurs les prezidants, lieutenant et élus de l’eslection de Cougnac.

Suplient humblemant les pauvres manans et habitans de la parroisse de Genac [2] dizant que, c’il y a une pauvre parroisse dans vostre eslection, c’est la leur, n’y ayant ne foire, ne marché, ny aulcun traffict. Outre la surcharge des tailles qu’ilz ont heu, ilz ont heu vingt logemant de gens de guerre ou plus, qu’ils leur ont faict un très grand dezorde et dégast ; les ungz y ont demeuré quatre jours du moingt, les autre huit, et les autre quinze et jusque à un mois, sans en partir ; de fasson qu’ilz ont ruyné tout à faict les supplians, soit tant pour leur avoir mangé et disipé leurs biens meubles qu’ilz avoyent ; ne ce contantant pas de sela, auroyent en beaucoup d’endroict ronpu et faict brûler leurs meubles, ce qu’ils ne pouvoist emporter, bastant et maltraictant les suplians. Voyant cela, auroyent estés contraints de quitter et abandonner leurs maisons ; et après, iceux gens de guerre montoyent sur icelles maisons et gestoyent la charpante et tuille à terre. Les ungts, pour empescher de perdre tout à faict leurs maisons, auroyent emprunté et faict donner par quelque gentizommes. quelque argent qu’ils doibvent ancore, outre et pardessus les commissions et taxes qu’ils leur faizoient payer par force ; de sorte que, après cela, ayant perdu tous leurs meubles, blés et grains, la plus grande partie des habitans auroyent estes contraints de quitter et abandoner leurs biens. Les ungs s’en sont allés par le pays rnandier leur pain, et les autres ont quitté la parroisse aussy et s’en sont allez en mestarie et bordrie, et les autres qui sont morts de la grande pauvreté qu’ils ont enduré et ont lessé leurs pauvres femmes vefves et leurs petis enfans mineurs qui vont rnandier leur pain, qui sont : premièrement, Pierre Voys et Magdellaine Bonnin, sa femme, qui sont morts, qui ont lessé de petis enfans qui ont quitté ladite parroisse et s’en sont allés demeurer en la parroisse de Marsat, et par ainsy est un taux perdu, qui payoient par chacun an de taille la somme de quatre vingts dix livres ; Michel Ruaud, qui est aussy mort, où ces créantiers ont prins son bien, qui sont demeurant en autre parroisse ; lequel payoit aussy par an de taille quatre vingts livres, ou ledit taux est ausy perdu ; Jehan Simon, qui est aussy mort, qui payoit quarante cinq livres, où le taux est aussy perdu, n’ayant lessé que de petis mineurs qui vont rnandier leur pain ; Guillaume Simon, dict le marchant, qui est aussy mort, où sa vefve et enfans ont quitté la paroisse et ont estes demeurer en celle de Marsat, qui est aussy un taux perdu, qui avoyent acoustumé payer par an quatre vingts livres ; Ozanne Baud, qui est aussy morte, qui a lessé des enfans mineurs qui vont rnandier leur pain, où les créantiers ont prins ces biens, qui sont demeurant hors la parroisse, qui est aussy un taux perdu, qui payoit par an cinquante livres ; Guillaume Raymond, la mesme chose, qui payoit trente livres ; Jehan Bresdon, qui a quitté et abandonné son bien, qui payoit soixante livres par an, où le taux est aussy perdu ; Maistre Anthoine Jamain, qui a quitté la parroisse et est allé demeurer en celle Chillé, qui payoit par an cent livres, qui est aussy un taux perdu ; Pierre Paziot, qui a aussy quitté et est allé en mestarie hors la parroisse, qui payoit quatre vingts livres ; Nouel Ardhuin, qui est aussy allé demeuré en celle de Bignac, qui payoit quinze livres ; les héritiers d’Anthoine Fradonnet, qui ont estes demeurés en celle de Saint-Cybardeaux, qui payent aussy par an trente livres ; Thomas Raffaut, qui est aussy allé en ladite parroisse de Saint-Cybardeaux, qui payoit quarante livres ; Mathurine Thiffon, qui est morte, où ces héritiers sont demeurants en celle de Saint-Amand, qui est aussy un taux perdu, qui portoit par an quarente livres ; Jehan Catellineau le jeune, qui est allé aussy demeurer en celle de Marsac, qui payoit dix livres ; Pierre Berton, qui est aussy allé en ladite parroisse dé Saint-Cybardeaux, qui payoit quinze livres ; Mathieu Gardel, qui s’en est allé par le pays mandier son pain, qui payoit par an cinq livres, où le taux est aussy perdu ; Louis Péraud, qui a aussy quitté la parroisse et est allé en celle de Bignac, qui payoit par an soixante et dix livres ; Jehan Hunaud, que son bien est en dégret pour cauze de la taille, qui c’est allégé au sieur receveur ? d’icelle, où par ce moyen son taux est perdu, qui payoit par an quarente livres ; Robert Inbert, la mesme chose, qui payoit par an cent livres ; Pierre Guyonnet, aussy la mesme chose, qui payoit trente livres ; Robert Guérin, aussy la mesme chose, tous collecteurs l’année 47, qui payoit icelluy Guérin par an quatre vingt livres, où lesdits taux sont aussy perdus, pour cauze que le bien n’est pas faict valloir ; Pierre Ballet dict Leclerc, qui s’en [est] allé par le pays, qui a quitté et abandonné son bien, qui payoit par an 30 livres ; François et Françoise Grolet, qui s’en sont aussy allez, qui payoyent dix livres ; Jehan Fournier, qui a esté en la paroisse de Gourville en mestarie, qui payoit 40 livres. Guillaume Ballet, qui est allé par le pays, où son bien est en dégret, qui payoit par an 30 livres ; Pierre Ballet, texier, la mesme chose, qui payoit aussy 30 livres ; Phelipe Brisseau, qui est mort, où ces héritiers sont demeurant en celle de Saint-Cybardeaux, qui payoit 45 livres ; François Fournier saulnier, qui [est] allé aussy en ladite parroisse de Saint-Cybardeaux, qui payoit 40 livres. Pierre Guerry, qui y est aussy allé en mestarie, qui payoit IIII XX X livres par an. Jehan Duchais, qui a aussy quitté ladite pa roisse et est allé en celle de Cliat,qui payoit 10 livres. Nicolas Danjou, qui est allé en celle de Marsac, qui payoit par an 60 livres. François Foubert le jeune, qui est mort, qui a lessé sa pauvre vefve et des petis anfans qui vont rnandier leur pain, où ces créantiers font vandre le bien, qui est aussy un taux perdu, qui payoit par [an] 60 livres. Anthoinette Naudin, qui est morte, où ces héritiers sont demeurant à Rouffiac ? qui payoit 10 livres. Pierre Coubaud et sa femme, la mesme chose, où leurs héritiers sont demeurant en la paroisse de Gourville, qui payoit 20 livres. Jan Bouyer, qui s’en est allé par le pays rnandier son pain, qui payoit 40 livres. François Barré, qui [est] allé en celle-de Saint-Cybardeaux, qui payoit 20 livres. Robert Barrouyer et François Bernard, qui ont quitté aussy et s’en sont allés en mestarie en la paroisse d’Auge, qui payoient par an. les deux VIII XX XI livres. François Coubaud, qui est aussy allé en celle de Bignac. qui payoit 15 livres. Les héritiers de feu Denis Coubaud, qui s’en sont allés en celle de Saint-Cybardeau et Aygres, qui payoit 5 livres. Jehan Audin, qui est allé en ladite paroisse de Saint-Cybardeau, qui payoit 15 livres. Louis Audureau, qui est mort, qui a lessé des mineurs qui vont rnandier leur pain, qui payoit 5 livres. Charles Jolly, qui est mort, où ces héritiers, petis mineurs, vont rnandier leur pain, qui payoit par [an] 20 livres : Jehan Panissaud, qui est mort, qui a lessé de petis mineurs, ces enfans, qui vont rnandier leur pain, qui payoit par an 60 livres, où son taux est aussy perdu. Ces créantiers, qui sont d’autres parroisse, prennent son bien. François Deschamps est allé demeurer en celle dudit Saint-Cybardeaux, qui payoit par an 50 livres. De plus ceux qui ont des mestaries dans les villages de ladite parroisse les lessent à faire valloir, pour cauze de la grande surcharge de la taille, qui sont les sieurs de Chanredon et le sieur Magnem de Marsac et le sieur Delabroue et le sieur Joubert, où les taux d’icelles mestaries est aussy perdu, comme les autres cy dessus, que chacune mestarie portoit sçavoir : celle de Chanredon, soixante et dix livres par an, et celle dudit Magnem autres LXX livres, et celle de Labroue 30 livres, et celle dudit Joubert autres 30 livres, et leurs mestaiers qui ont quitté et s’en sont allés hors la parroisse, où leur taux est aussy perdu, qui payoit par an chacun 20 livres, qui est les quatre IIII XX livres ; lesquels sieurs ont lessé leurs dictes mestaries à faire valloir pour cauze de la surcharge des tailles, et que le revenu qu’ils en tiroyent ne valloit pas la taille qu’ils payoit ; comme aussy tous les autres habitants qui sont demeurant en ladite parroisse seront aussy contraints de quitter, pour cauze que le revenu de leurs biens ne vaud pas ce qu’ils payent de taille. D’ailleurs ceux qui sont collecteurs, ladite charge les ruyne, par le moyen des grandes pertes et frays qu’ils payent. De plus a arivé en ladite parroisse que la grange et autres bastimans de la mestarie de M. Jan Huguet, notaire royal, a bruslé tout affaict, mesme les murailles ont tumbé à terre, mesme une partie de ces meubles et ceux de son mestayer, avecq tous les pailles, foin, tout son vin, vesseaux et futailles, tout brûla, où- icelluy Huguet a de perte de plus de quatre mil livres, et son mestayer plus II C livres, de sorte que sa mestarie, à faulte qu’elle n’a pas esté englavé et faict valloir, ne pourra payer le taux qu’elle avoit, qui est par an IIII XX livres, qui estants avecq les autres susdits taux perdu revenant touttes les susdites pertes, taux perdus à la somme de deux mil deux cent soixante dix livres, de sorte que les pauvres supplians, cy par vostre moyen n’ont soulagement, sont à quitter et abandonner leur bien, aussy comme ceux qui ont quitté.

Ce considérez, messieurs, il vous plaira, de vos grâce, droict et équitté, en faizant le départemant des tailles, de descharger les pauvres supplians des susdiltes sommes et taux perdus, outre la grande perte qu’ils ont faict et qu’ils ont heu des gens de guerre, qui sont cauze de la mort de pluzieurs habitans, et les ungz qui sont ancore vivant s’en sentiront toutte leur vie des grand exepts qu’ils ont faict à leur personne ; et ce faizant ferez bien, et les pauvres suppliants prient Dieu pour vostre santé et grandeur.

Saint-Smonde ?, procureur fiscal dudit Genac. Debresme. J. Huguet. Pinasseau. Duclou.

 1657, 11 juillet. — Procès-verbal de chevauchée dressé par Henri Mestayer, sieur de Bellejoie, contrôleur en l’élection de Cognac, pour visiter la paroisse de Genac. - Idem.

Aujourd’huy unziesme juillet mil six cent cinquante sept, nous Henry Mestayer, sieur de Bellejoye, conseiller du roy, esleu, controolleur en l’eslection de Cognac, sommes avecq le procureur du roy montez à cheval, et ayant aveq nous Denis Nouveau, qu’avons pris d’office pour l’effet de nostre chevauchée, transportez jusques en la parroisse de Genac, chastelanie de Montignac-Cherante, où estant et au devant la principalle porte et antrée de l’églize dudit lieu, avons fait sonner la cloche ; auquel son seroient survenus Jean Huguet, notaire royal, Michel Briand, Jean Massicot, Pierre Debresme, notaire, Jacques Duclou, François Salmon, Léonnard Gondier ? et autres habitans de ladite paroisse, ausquels nous avons déclaré que nous estions audit lieu pour recevoir leurs plaintes, tant de la stérillité quy peut estre en leur parroisse que des pertes et non valleurs quy sont arrivez en icelle. Lesquels habitans nous ont unanimement dit que ladite parroisse est extresmement pauvre, dans laquelle il n’y a ne foire ne marchez, et qu’il ne s’y fait aucun trafiq ; qu’ils ont de tout temps estez surchargez de tailles et autres impozitions ; que, pendant les troubles derniers, ils ont eu vingt logement de gens de guerres, lesquels ont ruiné tout à fait lesdits habitans, auxquels ils auraient mangé et dissipé tous leurs meubles et fruits, parties desquels meubles ils auraient fait bruller, et, non contant de ce, auraient monté sur les maisons, rompeu la cherpante et thuilles qu’ils auraient jeté par terre, ce quy aurait obligé une grande partie des habilans de quiter et abandonner leurs biens et d’aller mandier, partie aussy desquels habitans sont morts de pauvreté, et entr’aulres PierreRouyer et Magdelaine Bonnin, sa femme, quy portoient quatre vingt dix livres de taille ; Michel Renaud est aussy déceddé et ses créantiers se sont amparez de son bien, lesquels ne payent aucune chozes, d’autant qu’ils sont demeurant en d’autres paroisses, lequel Renaud portoit quatre vingt livres de taille ; Jean Simon, Ozanne Baud, Guillaume Simon dit le marchant, et Guillaume Raymond sont pareillement déceddez et dellaissé des mineurs quy mendient leur pain, lequel Jean Simon portoit quarente cinq livres de tailles, ledit Guillaume quatre vingt livres, ladite Baud cinquante livres et ledit Raymond trante livres, Jean Bresdon, maistre Anthoine Jamain, Pierre Paziol, Nouel Ardouin, les héritiers d’Anthoine Fradonnet, Thomas Raffaud, Mathurine Tiffon, Jean Catherineau le jeune, Pierre Breton, Mathieu Sardet, Louis Prevaud, Jean Hunaud, Robert Imberl, Pierre Guionnet, Robert Guérin, Pierre Ballet dit Leclerc, François et Françoise Grollet, Jean Fournier, Guillaume Ballet, Pierre Ballet, Phelipes Brissaud, François Fournier, Pierre Guerry, Jean Duchaix, Nicollas Danjou, François Foubert le jeune, Anthoinete Naudin, Pierre Combaud et sa femme, Jean Bouyer, François Barré, Robert de Barouyer, François Brenard, François Combaud, les héritiers feus Denis Combaud, Jean Audouin, Louis Audureau, Charles Jolly, Jean Panisseau, François Deschamps, Michel Chemineau l’esné, Jean Delafond, René Fouchier et Michel Martin, tous habitans dudit Genac, ne sont plus demeurant dans ladite paroisse, les uns l’ayant quitée pour aller demeurer en paroisses circonvoisines, les autres sont déceddez et laissent des mineurs quy mandient leur pain ; d’autres sont allez par le pays rnandier et les autres sont réduistz à la mandicité, estant obérez de debtes et leurs biens saisis par décrets à la requeste de divers créantiers. De plus, les sieurs de Chanredon, Magnan, Delabroue et Joubert, quy ont chascun une mestérie en ladite parroisse, ont esté contraints de les abandonner et dellaisser sans estre cultivées, les mestayers d’icelle les ayant quittées à cause de la surcharge des tailles. De plus est arrivé que la grange et autres bastiments dudit Huguet a brullé et les murailles on tumbé à terre ; de laquelle incendie ses meubles, ceux de son mestayer, toutes les pailles, fouin, vin, vesseaux et futailles ont esté consommez, et ledit Huguet y a fait perte de plus de quatre mil livres, et ses mestayers plus de deux cent livres ; de sorte que ladite mestérie est à présant inculte et abandonnée ; laquelle portoit par an la somme de quatre vingt livres. Toutes lesquelles pertes sont par le menu exprimées en la requeste qu’ils nous ont cejourd’huy donnée, signé de partie desdits habitans, atachée à ses présentes, et reviennent à la somme de deux mille cinq cent soixante dix neuf livres ; au moyen de toutes lesquelles pertes et dommages ressus ladite paroisse est presque inculte ; et, pour en remarquer la vérité et droisser procès verbal de l’estat d’icelle, ils nous ont prié et requis de nous transporter aveq ledit procureur du roy en les villages et terres de ladite parroisse ; à quoy inclinant, sommes montez à cheval et transportez en l’estendue de ladite parroisse, où nous avons veu divers mas de terre en friche, sans qu’il y aye aparance qu’ils ayent esté labourez, les deux ou trois ans derniers. Comme aussy avons veu diverses maisons presque ruynées ; et estant retournez audit bourg de Genac, avons veu la grange et autres bastimants dudit Huguet tous ruinez par le feu.

Dont et de tout ce que dessus nous avons droissé nostre présent procès verbal, pour valloir et servir ausdits habitans ce que de raison, l’an et jour susdits.

Mestayer. Garaud. Nouveau, greffier pris d’office.


[1Cette pièce et la suivante donnent une idée de la misère des campagnes après la fronde. On pourra les rapprocher de l’Extrait des pertes et taux non payés de la paroisse de Cellefrouin, en l’élection de Saint-Jean-d’Angély, tiré des rôles d’icelle, ès années l638, 1639 et 1640, publié par M. Lièvre, p. 96 du Bulletin de la société archéologique de la Charente, année 1881.

[2Genac, canton de Rouillac, arrondissement d’Angoulême.

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