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1766 - Monsieur Frétard de Gadeville dans l’affaire Lally-Tollendal

dimanche 30 juillet 2006, par Pierre, 8738 visites.

En 1754, la France, inquiète des succès des Anglais dans ce continent convoité, envoie aux Indes Françaises le général de Lally, et celui-ci capitule devant les Anglais à Pondichéry en 1761... puis il revient en France et en 1766, accusé de trahison, il y perd la tête !

Mais que vient donc faire Armand-Antonin-François Frétard de Gadeville dans cette galère ?

Autres pages de ce site sur la famille Frétard de Gadeville

 L’affaire Lally-Tollendal

En 1754 La France, inquiète de la progression des Anglais en Inde, envoya alors Thomas Arthur Lally, baron de Tollendal, général français né de père irlandais et mère française, soldat vaillant mais administrateur médiocre.

Il y remplace Joseph François Dupleix, relevé de ses fonctions de gouverneur par un gouvernement qui semble avoir eu quelques difficultés à comprendre le contexte de cette colonie convoitée par les Anglais (avec qui la France essayait ailleurs de faire la paix).

Le 16 janvier 1761, au terme d’un siège de 8 mois, la France perd Pondichéry, où Lally-Tollendal capitule devant les Anglais.

La France ne lui pardonnera pas cette défaite et l’accusera de trahison, eu égard à ses origines irlandaises. Lally-Tollendal sera jugé par le Parlement de Paris et condamné à être décapité en 1766.

Le bourreau Charles-Henri Sanson fut chargé de cette exécution. En dépit de sa compétence unanimement reconnue, il eut cette fois une petite baisse de régime ... et dut se faire aider par son vieux père !!! voir cette page

Le fils du Général Lally, avec le soutien de Voltaire, obtiendra la réhabilitation du décapité en 1778.

Voltaire et l’affaire Lally-Tollendal


En avril 1773, le fils de Lally, Trophime Gérard de Lally-Tollendal, demanda l’assistance de Voltaire dans sa campagne pour faire casser l’arrêt de 1766.

Voltaire n’avait pas une très bonne opinion du condamné, qu’il qualifia de "fou, étourdi, chimérique, absurde, violent, intéressé, fougueux et brutal", mais en 1768 il écrivit un "Précis du siècle de Louis XV", où il caractérisa cette exécution comme une injustice criante. Puis le fils, trouvant que Voltaire défendait mal la mémoire de son père, se brouilla avec lui. Toutefois, la démarche aboutit en 1778 par la cassation de l’arrêt de 1766.

Le 26 mai 1778, quatre jours avant sa propre mort, de sa plume toujours trempée dans le vitriol, Voltaire écrivit : "Le mourant ressuscite en apprenant cette grande nouvelle ; il embrasse bien tendrement M. de Lally [son fils], il voit que le roi est le défenseur de la justice ; il mourra content."

Voir sur l’Encyclopédie Britannica en ligne :LALLY, THOMAS ARTHUR, COMTE DE

 Mais que faisait M. de Gadeville dans cette galère ?

Et dans cette triste affaire, apparaît Armand Antonin François de Gadeville, dont la carrière dans la Marine Royale est racontée sur ce site (visiter)

A la lecture de Voltaire (ci-dessous), il apparaît que Armand Antonin Joseph de Gadeville faisait partie des officiers qui servaient aux Indes Françaises sous les ordres du général Lally-Tollendal. Cet épisode de sa carrière n’est pas mentionné dans les "Etats de service" qu’il a rédigés de sa main, vraisemblablement avant cette affaire, puisque ces états vont jusqu’en 1757.

2Voltaire raconte un épisode de cette affaire calamiteuse dans les "Fragments historiques sur l’Inde et sur le Général Lally" (Juin-décembre 1773)2

Les troupes qui couvraient Pondichéry se révoltèrent. Ce ne fut point une de ces séditions tumultueuses qui commencent sans raison et qui finissent de même. La nécessité sembla les plonger dans ce parti, le seul qui leur restait pour être payées et pour avoir de quoi subsister.

« Donnez-nous, disaient-elles, du pain et notre solde, ou nous allons en demander aux Anglais. »

Les soldats en corps écrivirent au général qu’ils attendraient quatre jours, mais qu’au bout de ce temps, toutes leurs ressources étant épuisées, ils passeraient à Madras.

On a prétendu que cette révolte avait été fomentée par un jésuite missionnaire nommé Saint-Estevan, jaloux de son supérieur le P. Lavaur, qui, de son côté, trahissait le général autant que le missionnaire Saint-Estevan les trahissait tous deux. Cette conduite ne s’accorde pas avec ce zèle pur qui éclate dans les Lettres édifiantes, et avec la foule de miracles dont le Seigneur a récompensé ce zèle.

Quoi qu’il en soit, il fallut trouver de l’argent. On n’apaise point les séditions dans l’Inde avec des paroles. Le directeur de la Monnaie, nommé Boyleau, donna le peu qui lui restait de matières d’or et d’argent. Le chevalier de Crillon prêta quatre mille roupies, M. de Gadeville autant. M. de Lally, qui avait heureusement cinquante mille francs chez lui, les donna, et engagea même le jésuite Lavaur, son ennemi secret, à prêter trente-six mille livres de l’argent qu’il réservait pour son usage ou pour ses missions, le tout remboursable par la compagnie si elle était en état de le faire. On devait aux troupes
dix mois de paye, et cette paye était forte : elle montait à plus d’un écu par jour pour chaque cavalier, et à treize sous pour les soldats.

Nous savons combien ces détails sont petits ; mais nous sentons qu’ils sont nécessaires.

La révolte ne fut apaisée qu’au bout de sept jours ; la bonne volonté du soldat en fut affaiblie. Les Anglais revinrent à ce lieu fatal de Vandavachi ; ils livrèrent dans cet endroit une seconde bataille, qu’ils gagnèrent complètement.

M. de Bussy y fut fait prisonnier.

Tout fut désespéré alors.

 La condamnation de Monsieur de Gadeville

Il est condamné par un arrêt de la Cour du Parlement de Paris du 10/05/1766 à un blâme [1] et à cent livres d’amende envers le roi.

Avec lui sont condamnés : Jacques-Hugues de Chaponnay (mêmes peines) et Jacques Pouly (admonition [2] et trois livres d’aumône [3])

Extrait du journal (1764-1789) de Siméon-Prosper Hardy intitulé Mes loisirs, ou journal d’événements tels qu’ils parviennent à ma connoissance


DU SAMEDI DIX MAI [1766].

[66 Les complices et adhérents du feu comte de Lally jugés Grand-Chambre et Tournelle assemblée]

La Grand Chambre et Tournelle assemblée comme pour le jugement du comte de Lally, procéda à celui des Sieurs Armand François Fretard de Gadeville, cydevant maréchal des logis de l’armée du Roi dans l’Inde, Jacques Hugues de Chaponay, cydevant capitaine au régiment de Lally, Jacques Poully cydevant prévôt de l’armée du Roi dans l’Inde, auquel il avoit été sursis jusqu’après l’exécution dudit Sieur comte de Lally, qui heureusement pour eux ne les chargea point ; les deux premiers furent mandés aux pieds de la Cour, où après qu’on les eut fait mettre à genouils nue tête, Monsieur le Premier président leur dit à chacun séparément : « La Cour te blâme, te déclare infâme et incapable de jamais posséder aucune charge dans l’Etat, retire-toi ». Le troisième fut égallement mandé, et étant debout à la barre de la Cour Monsieur le Premier président lui dit : « La Cour vous admoneste, et vous enjoint d’être plus circonspect à l’avenir, retirez-vous ». L’arrêt du comte de Lally avoit été imprimé et crié dans toutes les rues le jour de l’exécution, celui-ci le fut de même.

----

Siméon-Prosper Hardy (1729-1806), imprimeur-libraire, était en apprentissage chez Gabriel-François Quillau en mai 1748, et fut reçu maître le 15 mai 1755.

Il exerça à la "Colonne d’Or" à Paris rue Saint-Jacques n° 235.

Il était fils de Gérard-Emmanuel Hardy, receveur des tailles de l’élection de Cahors et neveu du libraire Guillaume-Ambroise Hardy.

Il est l’auteur d’un extraordinaire et très vivant journal qui englobe tous les événement de la vie parisienne de 1764 à 1789. Ce journal intitulé Mes loisirs, ou journal d’événements tels qu’ils parviennent à ma connoissance est une mine extraordinaire encore peu exploitée car il n’existe encore en grande partie que sous forme de manuscrit n’ayant été que partiellement publié en 1912.

Triste fin de carrière pour ce serviteur du Roi qui n’a eu que la malchance de se trouver en Inde sous les ordres d’Arthur Lally-Tollendal à un très mauvais moment !

Voir aussi : 1784 - Le testament d’Armand Antonin François Frétard de Gadeville

 Autres sources

Paris : impr. de P.-G. Le Mercier, [s.d.][4-FM-15830 (5)[Factum.(Affaire). Lally-Tollendal, Thomas Arthur de (1702-1766 ; comte). 1766]

Arrêt de la cour de parlement, qui condamne Armand-Antonin-François Fretard de Gadeville et Jacques-Hugues de Chaponnay au blâme et en cent livres d’amende chacun envers le roi, et Jacques Pouly à être admonesté et en trois livres d’aumône, sur les accusations desquels il avait été sursis à faire droit jusqu’après l’exécution de Thomas-Arthur de Lally, par arrêt du 6 du présent mois. Extrait des registres du parlement, du 10 mai 1799.

Commentaires (+ ma traduction) trouvés sur un site américain spécialisé en documents rares et qui vend un exemplaire original de ces pièces, pour la modique somme de 1500$.

Avis aux mécènes : Si, apitoyé par cette triste histoire, et nâvré de savoir que de tels documents prennent la poussière sur les étagères d’une boutique outre-atlantique, tu te sens une vocation pour le mécénat culturel, le créateur de ce site s’engage à te dédier une page entière de ce site si tu fais le beau geste qui permettra de faire revenir en France cet intéressant document ...

General de Lally travels to French India and loses it to the English...
then returns to France and loses his head !

[Duval Dumanoir & Duval d’Espremenil] Memoire a consulter et consultation,
pour le sieur Duval Dumanoir, & M. Duval d’Espremenil, Avocat du Roi au
Chatelet, Heritiers du feu Sieur Duval de Leyrit, Gouverneur de Pondichery.
Avec les Lettres que les Sieurs Duval de Leyrit & de Lally se sont ecrites
dans l’Inde, pour servir de pieces Justificatives.

Paris ; De l’Imprimerie de Michel Lambert : 1766.

Bound with- "Arrest de la Cour de Parlement, qui prive Thomas Artur de
Lally..." dated May 6th, 1766 and "Arrest de la Cour de Parlement qui
condamme Armand-Antonin-Francois Fretard de Gadeville, & Jacques-Hugues de
Chaponnay..." dated May 10th, 1766.

A sad chapter in the history of the Seven Years War, ending with the French
loss of India and the May 9th, 1766 beheading of General Thomas-Arthur,
comte de Lally, (1702-1766). This volume is the most complete of two
collections of records published relating to the loss of French India,
compiled from the official records by the heirs of the late French Governor
of India. It ranges from the first action in which General Lally’s troops
were engaged through the withdrawal of the French from India. Lally was the
son of an Irish Jacobite and a French noblewoman who joined the French army
while still in his teens. In 1744 he was put in command of the "Irish
Brigade" at Fontenoy, and was awarded a field promotion to brigadier.
Following several more years of distinguished service, in 1756, General
Lally was given command of the French expedition to India at the outbreak
of the Seven Years War.

It would have been better had he stayed home.

Lally reached Pondicherry, the capital of French India, in 1758. Following
initial successes he met a series of defeats and setbacks, including a
failed siege at Madras. Capable as a soldier but proud and disdainful as a
man, Lally was roundly disliked by his men and officers, as well as the
local Indian citizenry, a situation which cannot have helped the military
campaign. The end came when he retreated to Pondicherry, was besieged there
by a British army, and finally surrendered the city, and French presence in
India, in 1761. The stage was set for almost two centuries of English rule
in India, and General Lally was shipped back to England as a prisoner of war.

Again, it would have been better had he stayed put.

France had just lost the entirety of India, a scapegoat was needed, and
Lally didn’t have enough friends at court to avoid being charged with
treason. A more moderate man would have stayed put, safe in England, but
Lally demanded to be paroled so that he could return to France and defend
himself. The resulting trial reached its predictable end after almost two
years and on May 6th, 1766, Lally was sentenced to be beheaded, a sentence
which was carried out three days later, on May 9th.
Le général de Lally va aux Indes françaises et les perd au profit des Anglais...
puis il revient en France et y perd la tête !

[Duval Dumanoir & Duval d’Espremenil] Memoire a consulter et consultation, pour le sieur Duval Dumanoir, & M. Duval d’Espremenil, Avocat du Roi au Chatelet, Heritiers du feu Sieur Duval de Leyrit, Gouverneur de Pondichery. Avec les Lettres que les Sieurs Duval de Leyrit & de Lally se sont écrites dans l’Inde, pour servir de pieces justificatives.
Paris ; De l’Imprimerie de Michel Lambert : 1766.
Relié avec : "Arrest de la Cour de Parlement, qui prive Thomas Artur de Lally..." daté du 6 mai 1766 et "Arrest de la Cour de Parlement qui condamme Armand-Antonin-Francois Frétard de Gadeville, & Jacques-Hugues de Chaponnay..." daté du 10 mai 1766.

Un triste chapitre dans l’histoire de la Guerre de Sept ans, qui s’acheva pour les Français par la perte de l’Inde et, le 9 mai 1766, par la décapitation du Général Thomas-Arthur comte de Lally, (1702-1766). Ce livre est la plus complète de deux séries de documents relatifs à la perte de l’Inde Française, provenant de documents officiels rassemblés par les héritiers du dernier Gouverneur français des Indes. Il va de la première action dans laquelle les troupes du Général Lally ont été engagées jusqu’au retrait des Français de l’Inde. Lally était le fils d’un Jacobite irlandais et d’une noble française, qui s’engagea dans l’armée française dans sa jeunesse. En 1744, il fut nommé à la tête de la "Brigade Irlandaise" à Fontenoy, et fut nommé brigadier. Après plusieurs années de bons et loyaux services, on lui confia le commandement de l’expédition française en Inde au début de la Guerre de Sept Ans.

Il aurait mieux fait de rester à la maison

Lally rejoignit Pondichéry, capitale des Indes françaises, en 1758. Après quelques succès, il connut une série de défaites et de revers, dont un siège raté à Madras. Bon soldat, mais plein d’orgueil et de dédain, il était pris en aversion par ses hommes et ses officiers, et également par la population locale, ce qui n’arrangeait guère la situation militaire. La fin arriva quand il battit retraite vers Pondichéry, où il fut assiègé par les troupes anglaises, et dut finalement se rendre, ce qui mit un terme à la présence française en Inde, en 1761. Le terrain fut alors occupé par les Anglais pendant presque deux siècles, et le Général Lally, fut ramené en Angleterre comme prisonnier de guerre.

De nouveau, il aurait mieux fait de s’en tenir là.

La France venait de perdre la totalité de l’Inde, on avait besoin d’un bouc émissaire, et Lally n’avait pas assez d’amis à la cour pour éviter un procès en trahison. Tout autre que lui serait resté sagement en Angleterre, mais Lally donna sa parole et fut autorisé à revenir en France pour se défendre. Il arriva ce qui devait arriver et, deux ans plus tard, le 6 mai 1766, Lally fut condamné à être décapité, sentence qui fut appliquée 3 jours plus tard, le 9 mai.
Bound at the end of this copy are two very rare pamphlets- the official
text of the Court’s condemnation of Lally, dated 6 May, 1766 - and a four page official act of the courts levying fines against some officers in General Lally’s regiment, dated May 10th, 1766, the day after the General was beheaded-
Reliés, à la fin de ce document, deux documents très rares : le texte officiel de la condamnation de Lally par la Cour, daté du 6 mai 1766 - et un acte officiel de 4 pages, arrêts des Cours fixant des amendes envers des officiers du régiment du général Lally, datés du 10 mai 1766, le lendemain de la décapitation du général.

[1Encyclopédie : Blame, s. m. en Droit, est un jugement qui prononce une correction verbale contre l’accusé. Cette correction est infamante, & toûjours accompagnée d’amende. Il se prononce en ces termes. N. (le juge nomme le coupable par son nom) la cour te blâme, & te rend infâme.

[2Encyclopédie : Admonition, s. f. terme de Palais, est une remontrance que fait le Juge en matiere de délit au délinquant, à qui il remontre sa faute, & l’avertit d’être plus circonspect à l’avenir. L’admonition est moindre que le blâme, & n’est pas flétrissante, si ce n’est qu’elle soit suivie d’amende ; elle se joint le plus ordinairement avec l’aumône, & se fait à huis clos.

[3Encyclopédie : Aumone, en terme de Palais, est le payement d’une somme à laquelle une partie a été condamnée par autorité de justice, applicable pour l’ordinaire au pain des prisonniers.

Messages

  • Bonjour,

    Le Précis du siècle de Louis XV de Mr Voltaire que vous citez a fait l’objet en 1776 d’une lettre de critique d’un de mes parents François BOURCET ingénieur des fortifications, alors en poste à Pondichéry et dont le frère Jean BOURCET, capitaine d’infanterie et ingénieur en chef des fortifications, mon ancêtre, a été contemporain des événements ayant précipité Mr le comte de Lally à la perte de sa tête (participation à l’attaque de madras avec blessures par éclats de boulet de canon)

    Les BOURCET sont originaires d’embrun, gap et briançon, ils sont une famille d’ingénieurs géographes dont est issu le célèbre Pierre-Joseph de BOURCET, lieutenant général des armées du roi, ingénieur en chef des fortifications du dauphiné, opérateur avec le marquis de Paulmy de la limitation de la savoie. Ils finissent par se fixer à Grenoble. Jean BOURCET est responsable de 1754 à 1776 d’ouvrages de fortifications en sardaigne, à l’île bourbon et à Pondichéry.

    Cette lettre est une prise de partie en faveur de Mr Lally et démontre d’une manière gentille, les erreurs du précis de Mr Voltaire, pas évident de prime abord.
    Je vous ai join mon email, si celà vous intéresse, fournissez moi une adresse où je puis vous faire parvenir la transcription de ma lettre ainsi que la reproduction de la lettre en pdf, dans un ouvrage sur Mr Voltaire fait par ses secrétaires et finalement édité en 1826.
    cette lettre est disponible sur le groupe yahoo genea-indes-fr dans la rubrique fichiers.

    Sincères salutations.

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